Mon avis sur « Le Pouvoir » de Noami Alderman

Publication Instagram beauté éthique nudeLe Pouvoir

Naomi Alderman

Traduction : Christine Barbaste

Edition : Le Livre de Poche

Parution : 28 Août 2019

Genre : Science-fiction / Dystopique

Pages : 512.

 

mitigé

 

TW (à surligner pour voir) : viol – violence

 

Quatrième de couverture :

Et si les femmes prenaient enfin le pouvoir dans le monde entier ?

Aux quatre coins du monde, les femmes découvrent qu’elles détiennent « le pouvoir ».

Du bout des doigts, elles peuvent soudain infliger une douleur fulgurante – et même la mort.

Soudain, les hommes comprennent qu’ils deviennent le « sexe faible ».

Mais jusqu’où iront les femmes pour imposer ce nouvel ordre ?

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Mon avis sur « La fille et le fusil » de Caroline Solé

Publication Instagram beauté éthique nudeLa fille et le fusil

Caroline Solé

Edition : Albin Michel

Parution : 29 janvier 2020

Genre : Contemporain / Young Adult

Pages : 224.

 

mitigé

 

Quatrième de couverture :

Un soir, l’incroyable se produit : Phoenix, le garçon sur qui elle fantasme depuis des semaines, la raccompagne chez elle. Ce même soir, un homme célèbre frappe à la porte et chamboule lui aussi son quotidien. Ils sont là, et alors qu’ils s’apprêtent à repartir tous les deux, sans elle, Lou décide de forcer le destin. Elle braque sur eux la seule chose qui pourrait les retenir : un fusil.

Cette prise d’otages, c’est un geste désespéré. La célébrité désabusée, le garçon idéaliste et la turbulente révoltée peuvent-ils réussir à s’écouter ou les balles siffleront-elles plus fort ?

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Zénith, tome 1 : Les forces du passé – Sasha Alsberg et Lindsay Cummings

zenith.jpgZénith, tome 1 : Les forces du passé

Sasha Alsberg & Lindsay Cummings

Traduction : Camille Dolez Kohler

Edition : Bayard – Page Turners

Genre : Science-fiction / Young Adult

Pages : 631.

 

mitigé

 

Quatrième de couverture :

Un gang de filles sanguinaires règne sur la Galaxie Mirabel. Surentraînées, expertes en maniement des armes, pilotes de génie, ces rebelles ne respectent qu’une loi : la leur !
À leur tête, Androma Racella, alias la Baronne Sanglante, criminelle recherchée dans tous les Systèmes Unifiés, compte les morts qu’elle laisse sur son passage.

Mais quand Dex, une sombre figure du passé, resurgit pour leur proposer un marché, leur errance s’arrête brutalement. Andi se retrouve face à un terrible dilemme : mourir ou trahir.
Si la Baronne Sanglante n’a plus rien à perdre, elle a une dernière mission à accomplir : la vengeance. Et Androma est plutôt douée dans son genre.

 

Avis :

Un grand merci à Page Turners pour l’envoi de ce roman. J’étais super excitée à l’idée de le recevoir. Les premières lignes du résumé me mettaient clairement en joie. Malheureusement, il y a pas mal de points noirs sur cette lecture.

Je m’attendais à un récit avec des personnages féminins hyper badass, à la Six of Crows mais dans un space-opéra dément. Malheureusement, ils se sont révélés assez creux. Ils en deviennent parfois agaçants. On sent vraiment que les autrices n’ont pas su maîtriser les promesses du début. Une sorte de base mal exploitée.

Le début est dynamique, on est plongé dans l’action immédiatement. Mais les personnages sont très mal gérés. Il y a un effort sur l’univers, une volonté à créer quelque chose de complexe et grand. Malheureusement leur propre univers leur échappe. J’ai eu l’impression qu’il y avait une envie de créer quelque chose, qui aurait pu être génial, mais finalement on manque cruellement de profondeur. 

En discutant un peu avec la communauté de lecteurs j’ai fini par lire des avis anglophones. J’ai compris que l’une des autrices est youtubeuse et s’est retrouvée à se lancer dans ce projet sans réelle expérience. J’ai lu des critiques très difficiles et vraiment pas sympa. Je ne pense pas que c’est mérité. J’ai aussi l’impression qu’il y a eu un gros travail de la part de la traductrice en français.

Malheureusement cela n’a pas suffi. Même si l’intrigue est vraiment pleine de rebondissements et nous fait défiler les pages, ça ne sauve pas tout. Il y a des passages trop rapides, d’autres inutiles qui ralentissent totalement la lecture, ponctués de dialogue sans saveur. Les personnages manquent de crédibilité même si l’on comprend l’intention qui a été faite.

En bref, il y avait une jolie base et une intention d’en faire quelque chose de chouette. Malheureusement on a l’impression que l’univers et les personnages échappent aux autrices. Je n’ai pas assez accroché pour continuer l’aventure avec le tome 2.

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Dix jours avant la fin du monde – Manon Fargetton

dix jours avant la fin du mondeDix jours avant la fin du monde

Manon Fargetton

Edition : Gallimard

Genre : Apocalyptique / Young Adult

Pages : 464.

 

mitigé

 

Quatrième de couverture :

France, dans les années 2010. Des explosions d’origine inconnue frappent la terre. Toute vie est condamnée à disparaître d’ici dix jours. Six jeunes hommes et femmes s’unissent pour tenter d’y survivre.

 

Avis :

À la sortie de ce livre, j’ai vu pleuvoir un océan de bons avis et celui de Laura a fini de me convaincre. Je suis une grande fan de (post-)apocalyptique et il me fallait celui-ci ! Surtout que le talent de Manon Fargetton n’est plus à prouver. J’ai pu avoir un aperçu de sa plume dans « Quand vient la vague« .

J’avoue qu’avec la phrase de quatrième « Un compte à rebours implacable. Une aventure initiatique qu’on ne lâche plus. » je m’attendais à un roman haletant, avec beaucoup d’action et de rebondissements. Alors que nous sommes plutôt, voire totalement, tourné vers la psychologie des personnages. J’avoue que je préfère l’action.

Du coup, pendant les trois-quarts du roman je m’ennuyais un peu. En revanche, j’ai bien aimé l’évolution des personnages. Comment ils peuvent réagir face à ces derniers jours qui s’écoulent.

Le gros point fort c’est le réalisme des scènes. On s’y croirait vraiment et on a l’impression de vivre la fin du monde avec eux. Je pense que si ce scénario se produisait, il y a de grandes chances pour qu’il se déroule de cette manière.

De plus, il a y de magnifiques réflexions qui sont développées. Puisque nous sommes tournés vers les pensées et les émotions des personnages, ils nous délivrent de magnifiques moments qui m’ont fait réfléchir et qui ont résonné en moi de manière inattendue.

En bref, un avis en demi-teinte car je m’attendais à plus d’action mais j’ai adoré l’écriture et la poésie qui en découle.

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Quand j’aime et je n’aime pas un livre en même temps :

Ash Princess, tome 1 – Laura Sebastian

Ash PrincessAsh Princess, tome 1

Laura Sebastian

Traduction : Alice Delarbre

Edition : Albin Michel – Wiz

Genre : Fantasy / Young Adult

Pages : 528.

 

mitigé

 

Quatrième de couverture :

Theodosia avait six ans quand son pays a été attaqué, et quand sa mère, la reine du Feu, a été assassinée sous ses yeux.
Dix ans ont passé. Dix ans à vivre sous le joug du Kaiser, ses tortures incessantes, son régime de terreur. Dix ans qu’elle n’a pas prononcé son véritable nom. Theodosia s’appelle maintenant Thora, princesse de Cendres.
Le jour où le Kaiser la force à exécuter son dernier allié, celui qu’elle voit comme son unique chance de survie, Theodosia ne peut plus ignorer sa rage vengeresse. Elle se lance dans une intrigue où la séduction cache des crimes de sang, où les amitiés ne servent plus qu’à une chose : regagner son pouvoir.
Incapable de déterminer à qui elle peut vraiment se fier, Theodosia va apprendre jusqu’où elle est prête à aller pour venger sa mère, regagner son peuple et reprendre son titre de reine.

 

Avis :

Cet été il y a eu un gros teasing pour ce livre et j’étais impatiente de pouvoir le lire ! Qu’on se le dise, la couverture est une des plus belles que j’ai jamais eu dans ma bibliothèque et je ne me lasse pas de la regarder. Les premiers avis étaient plus que positifs donc je me suis lancée avec entrain.

Malheureusement je n’ai pas du tout le même avis. Je trouve que le début est très, très lent. Pendant plus de la moitié du roman il ne se passe quasiment rien. Puis nous avons quelques révélation par-ci, par-là que je n’avais pas vues venir et qui étaient très intéressantes. Mais le reste était tellement plat que ça ne m’a pas fait l’effet escompté.

Il n’y a que les derniers chapitres qui bougent et qui sont enfin remplis d’action. Dommage, ça faisait longtemps que le roman m’ennuyait et ça n’a pas suffit à rattraper le tout. Ce livre me fait un peu le même effet qu’Un Palais d’Epines et de Roses. Je suis tout de même curieuse de lire la suite, je pourrais être surprise.

L’univers est plutôt cool. Il n’est pas hyper innovant mais j’adore ce genre de monde. Intrigues de cour dans un univers « ancien » avec un soupçon de magie. A voir par la suite si ce sentiment se confirme.

Les personnages ne sont pas trop mal. L’héroïne m’a gonflé en revanche. J’ai trouvé qu’elle ressemblait aux héroïnes niaises qu’on avait l’habitude de lire il y a quelques années. Indécise, immature et toujours à se plaindre de sa situation. En plus le triangle amoureux c’est vraiment un truc redondant qu’il faut arrêter. Je n’aime pas ça, en tout cas pas quand ils sont fait de cette manière.

En bref, un roman qui m’a un peu déçue vu tout ce dont j’avais entendu parler. Je laisserais une chance à la suite, qui peut me surprendre !

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Quand tu te sens un peu seul.e parce que tout le monde a aimé un livre sauf toi

 

Mémé dans les orties – Aurélie Valognes

mémé dans les ortiesMémé dans les orties

Aurélie Valognes

Edition : Le Livre de Poche

Genre : Contemporain

Pages : 252.

 

mitigé

 

Quatrième de couverture :

Ferdinand Brun est atypique.
Le genre de vieux monsieur qui boude la vie et s’ennuie à (ne pas) mourir.
Tel un parasite, il occupe ses journées en planifiant les pires coups possibles qui pourraient nuire et agacer son voisinage.
Il suffit d’un nœud qui se relâche et laisse partir son seul compagnon de vie, Daisy sa chienne, pour que tout s’écroule.

Quand Juliette, une fillette de dix ans, et Béatrice, la plus geek des grands-mères, forcent littéralement sa porte pour entrer dans sa vie, Ferdinand va être contraint de se métamorphoser et de sortir de sa chrysalide, découvrant qu’il n’est jamais trop tard pour commencer à vivre…

 

Avis :

J’ai reçu ce livre en cadeau de Noël et il faut dire qu’il s’éloigne grandement de mes habitudes de lecture. Aurélie Valognes étant très largement connue, je ne voulais pas mourir bête et tenter le coup !

La quatrième de couverture me tentait tout de même pas mal. Après avoir lu les premiers chapitres je pensais avoir à faire à un petit vieux rebelle avec une intrigue comique. Quelle ne fut pas ma déception au fur et à mesure des pages.

J’ai trouvé le personnage de Ferdinand très antipathique. Jusqu’au bout je n’ai pas pu comprendre son comportement, qui n’évolue que très peu. De même que la personnalité de tous les autres personnages de l’immeuble. En revanche le personnage de Juliette est un petit rayon de soleil, qui reste cependant, un personnage très secondaire.

Il ne se passe pas grand chose pendant tout le roman, et je ne vois pas l’intérêt du livre. J’avais l’impression d’avoir sous les yeux les téléfilms de l’après-midi, avec une intrigue plus que bancale. Ce livre est censé être « humoristique »… je suis bon public mais là je n’ai pas du tout eu l’impression d’un livre feel-good. Au contraire, la personnalité du personnage principal est tellement négative, que ça en devient pesant.

Je l’ai lu jusqu’au bout, parce que je m’attendais à ce que le fin rattrape peut-être le tout, mais même pas. Le style est très simple, les phrases sont courtes, mais cela reste fluide et se lit très vite.

En bref, je passerais mon tour pour les autres romans de cette auteure. Ce n’est pas un style qui me convienne, dommage !

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Par contre dans le roman il y a un dogue allemand et ça, ça me fait fondre

La planète des 7 dormants – Gaël Aymon

La planète des 7 dormantsLa planète des 7 dormants

Gaël Aymon

Edition : Nathan

Genre : Science-fiction

Pages : 268.

 

mitigé

 

Quatrième de couverture :

Pour réparer leur vaisseau endommagé, des explorateurs spatiaux atterrissent en catastrophe sur une planète inconnue. La découverte de ruines d’une civilisation disparue ravive l’espoir de la capitaine : cette nouvelle planète pourrait-elle être habitable ? Mais une partie de l’équipage est prête à tout pour repartir au plus vite, malgré l’état du vaisseau…

La rencontre soudaine avec un peuple primitif qui les prend pour des dieux, les Sept Dormants, les place devant un choix crucial : jouer les usurpateurs ou détromper ceux qui les accueillent ?

 

Avis :

Un grand merci aux éditions Nathan pour l’envoi de ce roman. Cette jolie couverture et cette quatrième de couverture m’avaient fortement séduite ! Malheureusement je n’ai pas trop accroché avec ce livre.

Il faut savoir que j’ai vu énormément d’avis négatifs et très mitigés sur ce bouquin. Alors je l’ai commencé avec beaucoup d’aprioris. Je l’ai laissé un peu traîner pour ne pas me laisser influencer par ces avis.

La première chose frappante c’est la narration et l’écriture. Elles sont vraiment très particulières. Je n’ai pas accroché, j’ai trouvé ça froid. Ca met de la distance entre le lecteur et l’intrigue.

L’univers créé est assez dingue. J’ai trouvé ça super intelligent ! Même si j’avais un peu de mal à tout imaginer, je pense que l’auteur a créé quelque chose d’assez incroyable.

Malheureusement il a été mal exploité par un récit très étrange. C’est surtout la fin qui semble précipitée et bâclée. Mais j’avoue avoir été surprise par tout le déroulé de l’histoire.

Il y a beaucoup de personnages et il m’a fallut du temps pour tous les identifier. Je ne comprends pas non plus pourquoi ce livre est un Young Adult. Je ne suis pas une experte en édition mais si quelqu’un a un élément de réponse je suis curieuse !

En bref, je suis mitigée parce qu’il y avait des points positifs malheureusement surpassés par les point négatifs. 

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Un univers original qui aurait mérité plus d’approfondissement

Autre-monde, tome 4 : Entropia – Maxime Chattam

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Maxime Chattam

Genre : Fantastique / Jeunesse

Pages : 422.

Note mitigé

◊ ATTENTION LA SUITE PEUT VOUS SPOILER

SI VOUS N’AVEZ PAS LU LE PREMIER TOME ◊

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Quatrième de couverture :

La guerre est finie. Entre Pans et Cyniks, condamnés à s’entendre, l’équilibre reste fragile. Pendant ce temps, au nord d’Eden, surgi d’on ne sait où, un impénétrable et mystérieux brouillard stagne comme une muraille. Entropia et ses pièges attendent désormais l’Alliance des trois… Cette deuxième époque entraîne le lecteur à la découverte du véritable ennemi des Pans : Entropia, essence même de la Grande Tempête qui a ravagé la planète. Les véritables enjeux d’Autre-Monde se dessinent peu à peu pour nos 3 héros en quête de qui s’est vraiment passé.

 

Avis :

Toujours dans mon optique d’avancer mes sagas en cours, j’ai entamé ce quatrième tome d’Autre-Monde. Je vous avoue être mi-figue mi-raisin sur cette lecture…

Comme dans le précédent tome, tout met du temps à se mettre en place. J’ai mis énormément de temps, encore plus dans ce tome ci, à me mettre vraiment dedans. En plus de trouver cette première partie un peu longue, j’ai eu très peur de voir un remake du précédent cycle.

Je m’explique, les trois premiers tomes constituent un « cycle » à part entière dans la construction de cette saga. En gros, si vous souhaitez vous arrêter au troisième tome, c’est possible, vous aurez une fin et tout le toutim.

Mais en commençant, et même en avançant dans l’intrigue de ce tome-ci, j’ai eu une désagréable sensation de déjà-vu, qui ne s’est dissipée que très tardivement. J’ai l’impression d’être passée un peu à côté de ma lecture du coup.

En revanche c’est toujours un plaisir de retrouver les personnages et l’univers. Petite révélation attention : mon personnages préféré c’est Plume. Oui c’est un chien et alors ? Je l’aime et si elle meurt, je casse tout.

L’écriture de Maxime Chattam est aussi un gros plus. Elle nous transporte au coeur de l’action, rendant le tout très visuel. Il ne nous épargne pas en horreur.

En bref, j’aime l’univers de cette saga et vais me laisser le temps de bien digérer cette lecture en demi-teinte avant de poursuivre.

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Intrigue : +++++

Personnages : +++++

Ecriture : +++++

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La nature a une place importante dans cette saga, c’est peut-être pour ça que j’aime autant l’univers

 

Talk dirty to me – Claire Delille

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Claire Delille

Genre : Erotique / Romance

Pages : lu au format numérique

Note mitigé

Quatrième de couverture :

Le meilleur des amants est virtuel… Ils ne se sont jamais rencontrés et pourtant, ils partagent des moments intimes d’une rare intensité grâce au pouvoir des mots. Au réveil, dans sa voiture ou même au travail, Mabelle échange plusieurs fois par jour avec le mystérieux Rio des sextos aussi hot que coquins. Des conversations auxquelles elle devient vite accro, à tel point qu’elle préfère désormais rester en compagnie de son amant virtuel plutôt que de passer la nuit avec un homme en chair et en os. Car Rio est parfait, à tout point de vue. Mais, si Mabelle est persuadée de pouvoir se contenter de cette relation à distance, Rio ne risque-t-il pas un jour de vouloir plus ?

Avis :

Avant toute chose, un grand merci à Netgalley et Harlequin pour l’envoi de cet ebook ! L’été j’aime ce genre de lecture rapide. Je ressors malgré tout un poil déçue de ma lecture.

J’ai eu peur du style l’écriture de l’auteure dans un premier temps. Mais il s’améliore au fil des pages, et c’est finalement un roman qui se laisse lire très vite.

Mabelle est une jeune femme libre, qui ne veut pas d’attache sentimentale et qui enchaîne les conquêtes. Cela ne me pose généralement pas de problèmes, quand les conquêtes en question sont consentantes pour une relation libre. Ici elle n’énonce pas clairement aux hommes avec qui elle couche que ça sera sans lendemain, leur laissant parfois croire le contraire. Cela m’a vraiment dérangée, je l’ai trouvée pas mal égoïste.

La relation qu’elle a avec ses copines est un peu étrange. Je les ai trouvées très dures entre elles, se jugeant à longueur de temps. Leur amitié était très difficile à comprendre pour moi.

Finalement le personnage que j’ai le plus apprécié c’est Rio, le sexphone de Mabelle. Je l’ai trouvé touchant et attendrissant. Toujours aux petits soins pour elle, et toujours disponible pour discuter avec elle.

L’intrigue n’est pas des plus passionnante car on ne sait pas vraiment où l’on veut en venir. J’ai vu la fin venir à des kilomètres, mais je l’ai tout de même trouvée très touchante.

En bref, dommage pour cette histoire qui avait tout le potentiel pour me plaire mais dont j’ai été pas mal dérangée par l’héroïne et ses copines. L’intrigue aussi m’a déroutée, je ne savais pas vraiment où j’allais.

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Intrigue : +++++

Personnages : +++++

Ecriture : +++++

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Quand je suis dérangée par le personnage principal mais que je dois suivre son histoire :

The Sun is Also a Star (VO) – Nicola Yoon

The Sun is Also a Star (VO)the sun is also a star

Nicola Yoon

Genre : Romance

Pages : 348

Note mitigé

Quatrième de couverture :

Natasha: I’m a girl who believes in science and facts. Not fate. Not destiny. Or dreams that will never come true. I’m definitely not the kind of girl who meets a cute boy on a crowded New York City street and falls in love with him. Not when my family is twelve hours away from being deported to Jamaica. Falling in love with him won’t be my story.

Daniel: I’ve always been the good son, the good student, living up to my parents? high expectations. Never the poet. Or the dreamer. But when I see her, I forget about all that. Something about Natasha makes me think that fate has something much more extraordinary in store for both of us.

The Universe: Every moment in our lives has brought us to this single moment. A million futures lie before us. Which one will come true?

 

Avis :

Après le coup de coeur que j’ai eu pour Everything Everything, il me fallait lire le nouveau livre de Nicola Yoon. Bon je pense que je vais rester sur mon avis de : ce n’est pas parce que j’ai aimé tel livre de cet auteur, que je vais aimer les autres…

Je ne savais absolument pas de quoi parlait ce livre en le commençant. Je sais ça m’arrive souvent de vous dire ça, mais que voulez-vous ? J’aime vivre dangereusement ! J’avais très envie de me remettre à la lecture en anglais et ce genre d’écriture simple est parfaite pour s’y remettre.

J’étais très positive en le commençant et j’en ressort avec une impression de « meh ». C’est à dire que oui ok, c’était pas mal, mais vraiment pas fou. J’aurais dû me renseigner un peu plus sur l’histoire. Je ne suis pas une fan de romance et celle du roman est très « niaise » dans le sens où c’est tout ce que je n’aime pas. J’ai trouvé ça très peu probable.

Les personnages sont sympathiques, certes. Mais je n’ai pas ressenti grand chose pendant ma lecture. J’ai trouvé ça trop simple, trop lisse et surtout prévisible. Et si MOI je trouve ça prévisible, je n’imagine même pas pour les autres. Il faut savoir que je suis d’une assez grande naïveté en ce qui concerne les scénarios de livre. Alors quand je vois venir la fin, c’est assez grave.

Tout le long du roman, j’attendais qu’il se passe quelque chose. Mais il ne se passe rien. Pour moi, ça manque trop d’action. Ce n’est pas du tout le genre de rythme qui me plait. Il est vrai que plusieurs thématiques importantes sont abordées. Cela reste très léger pour qu’on s’y intéresse réellement.

Il faut dire que je suis surtout déçue et frustrée de ne pas avoir aimé ce livre. Je m’attendais à tellement plus avec la plume de l’auteure.

En bref, cette lecture ne me correspondait vraiment pas. Je pense qu’il peut plaire aux amateurs de romance toute douce, et ceux qui ont par exemple apprécié « Tous nos jours parfaits » de Jennifer Niven.

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Intrigue : +++++

Personnages : +++++

Ecriture : +++++

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Ma réaction face à ce livre :