Mon avis sur « Prospérine Virgule-Point » de Laure Dargelos

Quatrième de couverture :

Demi-Mot aurait pu être un village ordinaire, s’il n’était pas bâti à la limite du Texte. Jour après jour, les habitants polissent et astiquent les lettres ; ils entretiennent ces milliers de caractères qui, sans leur concours, se seraient déjà effondrés. Chez les Virgule-Point, l’aînée de la fratrie a choisi une voie bien différente : fleuriste ! Elle préfère bichonner des Trompettes à pétales plutôt que de faire prospérer l’empire des points et des virgules. Mais un événement inexplicable ne tarde pas à l’entraîner dans une spirale qui la dépasse ?
Et si l’avenir du village était en jeu ? Et si tout était lié à la Phrase sans fin, cette mystérieuse phrase laissée en suspens par l’Auteur ?

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Mon avis sur « Gérald, tome 1 » de Léopold Lemarchand & Mister Box

Quatrième de couverture :

Voici Gérald. Gérald est un garçon hors du commun. Il prend tout au premier degré ! Tout ! Lorsqu’il s’agit de trouver l’amour ou un emploi, tout devient compliqué. Il est temps pour lui de prendre sa vie en main. Enfin façon de parler bien sûr…

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Mon avis sur « Comment j’ai tué mon ange gardien » de Thomas Hercouët

Comment j’ai tué mon ange gardien

Thomas Hercouët

Edition : Flammarion

Parution : 26 août 2020

Genre : Fantastique / Humour

Pages : 325.

Quatrième de couverture :

La nuit où Antoine rencontre son ange gardien, il se rend compte de deux choses :
1. Il est en danger de mort
2. Son ange gardien est nul

Cette histoire est déjà mal partie, mais quand il s’aperçoit que des forces surnaturelles envahissent le campus et que son ex-petite amie est impliquée…
C’ est carrément le début de la fin du monde !

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Mon avis sur « L’homme qui voulait devenir psychopathe » de Laurent Malot

l'homme qui voulait devenir psychopatheL’homme qui voulait devenir psychopathe

Laurent Malot

Edition : French Pulp (polar)

Genre : Thriller / Humoristique

Pages : 152.

mitigé

 

Quatrième de couverture :

Victor Bourgeois a quarante-six ans, une femme et deux enfants. Toute sa vie, il a marché dans les clous pour finalement devenir un pion parmi les pions, sans relief ni éclat.

Si le constat est amer, il a encore l’énergie pour bousculer le destin. Mais les expériences qu’il tente pour avoir quelque chose à raconter se révèlent fades et douloureuses…

Même son suicide n’est pas une réussite ! C’est alors que surgit la révélation : il n’est pas parvenu à se tuer parce qu’il est fait pour tuer les autres !

Le seul hic, devenir psychopathe ne s’improvise pas…

 

Avis :

Merci à NetGalley et French Pulp pour l’envoi de cet ebook. Séduite par la couverture et la quatrième, j’avais très envie de découvrir ce roman dont je n’avais pas entendu parler. Ce qui est cool avec la plateforme NetGalley c’est que l’accès au catalogue vous permet de demander des romans qui sortent un peu de vos habitudes. J’avoue que je ressors mitigée de ma lecture parce que je m’attendais à autre chose.

Je m’attendais à quelque chose de beaucoup plus drôle. Ici, l’humour est cynique et noir. J’avoue avoir eu un peu de mal. En plus, j’ai mis du temps à m’adapter au style de l’auteur.

Il nous plonge dans les pensées de son personnage principal qui n’en peut plus de sa vie plan-plan de monsieur tout le monde et veut se faire remarquer. Pour sortir du lot, il a décidé de devenir psychopathe.

On est loin de rentrer dans la psychologie pure du personnage mais plutôt dans son aventure burlesque et décalée. J’avais l’impression d’être trop détachée de ce personnage qui reste très froid. Du coup, je n’avais aucune empathie pour lui, il était juste pathétique et pas très malin.

En revanche on nous présente une critique à peine voilée de la société actuelle et on nous apporte des pistes de réflexions intéressantes. Comment avoir l’impression de vivre sa vie pleinement ? Comment échapper aux schémas pré-établis qui ne nous conviennent pas ? Pourquoi choisir le mal plutôt que le bien ?

En bref, un roman qui ne m’aura pas vraiment convaincue, dommage. Je pense qu’il était un peu trop absurde et déjanté pour moi.

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Si Cupidon savait viser – Alice Hérisson & James Harrington

si cupidon savait viserSi Cupidon savait viser

Alice Hérisson & James Harrington

Edition : De Saxus

Genre : Romance / Humoristique

Pages : 317.

 

j'ai abandonné

 

Quatrième de couverture :

Elle, c’est Alice.
Illustratrice dans une agence de publicité le jour et dessinatrice de BD la nuit, elle est heureuse et épanouie dans son couple… jusqu’au jour où elle se fait larguer.
Lui, c’est James.
Il s’ennuie comme conseiller client dans un centre d’appels et doit vivre avec une peur contraignante : l’anglophobie. Il ne supporte pas le moindre mot en anglais. Célibataire depuis trop longtemps, il veut trouver l’amour.
Ce livre, c’est leur histoire. À travers le regard de chacun, vous allez vivre leur quête de l’âme sœur. Des sites de rencontres aux soirées speed dating, en passant par un chassé-croisé dans un labyrinthe ou un séminaire surréaliste, ils vont se chercher, mais surtout se rater.
De Paris à Londres, embarquez dans une aventure pleine de rebondissements, de quiproquos et de rencontres improbables !

 

Avis :

Merci aux éditions De Saxus pour l’envoi de ce roman. J’avais envie de lire une romance fraîche, drôle et pétillante. On part plutôt sur un beau raté… Installe-toi, je t’explique pourquoi j’ai abandonné ce roman. Accroche-toi Simone, je vais râler.

Mood 14 février, j’étais OP pour lire de la romance toute moelleuse. J’en lis rarement, donc quand j’en lis j’aime que le livre fasse ressortir mon côté guimauve tout en me faisant rire (sourire à la limite). Et qu’on ne vienne pas me dire que les auteures américaines sont plus talentueuses que les autres : c’est faux ! Mes romances préférées ont été écrites par des femmes françaises, cocorico. Alors pas d’excuses.

Dès le départ j’ai eu du mal avec les personnages. Enfin pas eux en tant que tel, mais les propos qu’ils tenaient. Certes, c’était dit sur le ton de l’humour, mais comme j’ai pu le dire sur Instagram, on ne peut pas tout cautionner sous couvert « d’humour ». Quelques joyeux exemples de ce que j’ai pu lire juste après.

Il y avait tellement de situations qui m’ont hérissé le poil que j’ai dû ouvrir un document « notes » sur mon téléphone, chose que je ne fais quasiment jamais. Premièrement j’ai trouvé que le personnage principal était un loser condescendant, qui se permet de la ramener sur des sujets qu’il ne connaît même pas. Mais passons, la perle c’est son meilleur ami.

Petit passage où ce fameux ami, déclare « Dans le métro ont le droit à des sourires toutes les morts d’évêques ». ALORS, comment te dire ça gentiment mon petit… Le harcèlement de rue, ça te dit quelque chose ? Les femmes risquent littéralement leur vie à sourire à un mec dans les transports en commun. Déjà qu’on se fait harceler lorsque l’on fixe nos chaussures, la musique à fond dans les écouteurs et l’allure vive, alors je t’explique même pas si on a le malheur de sourire à la mauvaise personne. Ce genre de propos on oublie. Le gros problème c’est qu’aucun personnage ou aucun passage de la narration ne contredit ou n’apporte de nuance à ce qui est dit. Parce que, à la limite, qu’un personnage soit con, ça peut arriver. Mais on le tourne en ridicule où on fait comprendre que ses propos sont déplacés. A chaque exemple que j’ai relevé, c’est comme si on validait les propos parce que rien n’est dit pour contrer l’idée.

Bref je vous épargne les passages entiers où James, notre protagoniste principal, est ultra sexiste, où il déclare que les hommes ne sont intéressés que par le physique des femmes, j’en passe et des meilleures. Notre héroïne et sa copine ne sont pas en reste non plus sur les remarques du siècle dernier : porter une robe courte fait des femmes des « chaudasses », on aime se faire siffler dans la rue parce que ça flatte notre ego, être trop maquillée, c’est être une « cagole » … etc, etc.

Soit c’est un humour que je ne comprends pas, soit il y a vraiment un souci. Aucune nuance n’est apportée, aucun recul sur les personnages n’est donné, et encore une fois, pour moi l’humour ne justifie pas tout.

J’ai essayé de me renseigner sur l’autrice du roman, mais je n’ai rien trouvé. Parce que, si j’ai bien compris, Alice Hérisson & James Harrington sont en fait les personnages du roman, et non les auteurs ! Donc qui se cache derrière ce texte… mystère.

Après m’être énervée toute la première moitié du roman j’ai décidé d’arrêter la lecture avant de me faire un ulcère. J’ai pleins de lectures prometteuses qui m’attendent dans ma bibliothèque. Comme dirait l’autre : ça ne sert à rien de se mettre la rate au court bouillon.

Je l’ai déjà dit aussi sur Instagram mais je le redis ici : ces propos n’engagent que moi. Ceci est mon ressenti sur ce roman. Une autre personne avec une sensibilité différente n’aura peut-être pas du tout le même avis. Donc rien ne vaut de se faire sa propre opinion.

En bref, j’ai vraiment détesté la première partie du roman. Après avoir passé cette première moitié à bondir de rage et taper furieusement sur Notes les passages qui ont attisé ma haine, j’ai décidé d’arrêter l’aventure, et ma décision est irrévocable (AH !).

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Allégorie poétique entre moi et le livre :

Divine Vengeance – Francesco Muzzopappa

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Francesco Muzzopappa

Traduction : Marianne Faurobert

Edition : Autrement

Genre : Humoristique

Pages : 241.

 

pas mal

 

Quatrième de couverture :

Très croyante, la petite amie de Leo suit à la lettre les principes de l’Eglise et refuse d’avoir des relations sexuelles avant le mariage. Mais, alors qu’il s’apprête à faire sa demande, Leo la surprend au lit avec un autre. Il décide alors de se venger en transgressant les uns après les autres chacun des dix commandements et en menant la vie dure à la famille de son amie.

 

Avis :

J’ai reçu ce livre grâce à la Masse Critique de septembre organisée par Babelio. Je ne connaissais ni l’auteur, ni la maison d’édition, mais la quatrième de couverture m’a beaucoup amusée.

Je ne m’attendais pas à ce que le ton soit aussi drôle et tranchant. Avec un humour décapant, on assiste à la petite vengeance de Leo, notre protagoniste.

Les personnages sont plutôt décalés et apportent une couche supplémentaire au grotesque de l’histoire. Leo est un brin maladroit et pathétique mais il est très cynique, ce qui le rend attachant.

J’ai passé un bon moment sans être subjuguée par l’intrigue. C’est un roman à lire si vous voulez passer une agréable lecture sans prise de tête. J’ai beaucoup aimé le petit mot de l’auteur à la fin, qui s’excuse pour ce qu’il a pu écrire dans son roman.

Cela reste gentil et léger, conclut par une fin sympathique. Je suis contente d’avoir pu recevoir ce livre. En plus, il se lit très vite !

En bref, un roman qui se laisse lire facilement et qui aura eu le mérite de me faire sourire.

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Certains passages sont vraiment drôles

Les mémoires d’une jeune fille (pas) rangée – Aurélie Joy

Les mémoires d’une jeune fille (pas) rangéeles mémoires

Aurélie Joy

Genre : BD / Humoristique

Pages : 160.

Note excellente lecture

 

Quatrième de couverture :

Jeune directrice artistique aussi drôle qu’attachante, un brin maladroite et très exigeante, Aurélie évolue entre sa fabuleuse maman, son amoureux de 30 ans son aîné, son charmant « beau-fils » de 7 ans, son travail de free-lance, ses copines et… son futur bébé. Dans ces scènes de la vie quotidienne et conjugale, où le cynisme côtoie la naïveté, se révèle un personnage irrésistible, sublimé par ses répliques mordantes, dans lequel beaucoup se reconnaîtront.

 

Avis :

Tout d’abord, un grand merci à l’auteure qui m’a gentiment fait parvenir son livre ! Une bande dessinée rafraichissante, avec un humour dans l’air du temps, j’ai passé un excellent moment.

Les dessins sont très simples et ont leur charme ! La mise en page épurée se concentre sur l’essentiel sans fioritures, j’ai adoré.

Ces tranches de vies de l’auteure sont authentiques. J’aime la joie et l’amour de vivre qui en ressort. Plusieurs fois j’ai ris franchement en lisant les planches. Ces petits moments autobiographiques de l’auteure sont rayonnants !

En bref, une petite BD que je recommande si vous voulez lire quelque chose de rafraichissant et drôle. D’ailleurs n’hésitez pas à suivre l’auteure sur son instagram où elle divulgue quelques dessins du livre. J’attends la suite avec impatience.

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Intrigue : +++++

Personnages : +++++

Ecriture : +++++

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Quand je me tape des barres devant un roman :

Tinder Surprise – Ana Ker

Tinder SurpriseTINDER SURPRISE

Ana Ker

Genre : Contemporain / Humour

Pages : 256.

Note Bonne lecture

 

Quatrième de couverture :

Quatorze jours pour devenir une trentenaire épanouie et heureuse grâce à Tinder, une application de rencontres pour mobile. C’est le pari fou de Joséphine Simon, au bout du rouleau sentimental, et qui désespère ses copines.
Du musclé, du tendre, du radin, du tatoué, du romantique, du biker ou du rasta : bienvenue au supermarché de l’Homme. Il n’y qu’à liker ou à noper pour consommer. Simple comme bonjour. Quoi que…

 

Avis :

Ma petite Marion ayant lu ce livre il y a peu, elle m’a donné très envie de le découvrir à mon tour. Une lecture simple et sans prise de tête, pile ce dont j’avais besoin.

Nous allons donc suivre Joséphine qui va enchaîner les rendez-vous en quête de l’homme parfait. J’avoue que la raison pour laquelle elle se lance dans cette aventure m’a fait franchement sourire. 

Le grand point fort de cette lecture c’est l’humour ! Cette grande aventure va entraîner notre protagoniste dans des situations rocambolesques à mourir de rire. Véritable feel-good book, je me suis bien amusée à suivre ses péripéties. L’écriture y est pour beaucoup dans ce style décapant.

Les pages s’enchaînent très vite et on ne s’ennuie pas. J’ai englouti ce livre en deux jours. Bon il est pas bien épais, je vous l’accorde mais tout de même. L’intrigue est bien ficelée. Je n’ai rien contre les sites de rencontre du type Tinder et autre comme certaines. Je trouve que c’est un moyen comme un autre de rencontrer des gens ! Je trouve que c’est tout à fait dans l’ère du temps et assez représentatif de la réalité. Un moyen malin pour raconter une histoire légère.

Le personnage de Joséphine a tout de même un point qui m’a pas mal dérangé. Elle n’hésite pas à s’inventer une fausse vie et à mentir aux hommes qu’elle rencontre. C’est toujours présenté de façon légère mais je suis quelqu’un de très honnête et j’ai horreur qu’on me mente, même pour « rire ». Alors quand je me mettais à la place des hommes bernés, j’avais un peu de ressentiments envers elle.

Un autre petit bémol à cette lecture, qui reste un détail. L’intrigue est vraiment concentré sur l’héroïne et les mâles qu’elle rencontre. On a tout de même l’avis de ses copines. Mais jamais on ne mentionne leurs noms, juste Copines 1, 2, 3 et 4. J’ai trouvé ça super perturbant !

En bref, une lecture légère qui saura vous faire sourire malgré quelques scènes qui m’ont fait grincer des dents. Une parfaite petite lecture de l’été !

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Intrigue : +++++

Personnages : +++++

Ecriture : +++++

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Quand tu te reconnais dans plusieurs scène du livre :

Maudit Karma – David Safier

Maudit Karmamaudit karma

David Safier

Traduction : Catherine Barret

Genre : Humoristique

Pages : 343.

Note Bonne lecture

Quatrième de couverture : 

Animatrice de talk-show, Kim Lange est au sommet de sa gloire quand elle est écrasée par une météorite. Dans l’au-delà, elle apprend qu’elle a accumulé beaucoup trop de mauvais karma au cours de son existence. Non seulement elle a négligé sa fille et trompé son mari, mais elle a rendu la vie impossible à son entourage. Pour sa punition, Kim se réincarne en fourmi. Et le pire reste à venir : de ses minuscules yeux d’insecte, elle voit une autre femme la remplacer auprès de sa famille. Elle doit au plus vite remonter l’échelle des réincarnations. Mais, de fourmi à bipède, le chemin est long. Kim devra surmonter bien des obstacles… et, au passage, revoir la plupart de ses conceptions sur l’existence ! Tour à tour incisif, léger et émouvant, Maudit Karma est un roman jubilatoire.

Avis :

J’avais clairement besoin de lire quelque chose de léger et de drôle. Cette lecture a été ce qu’il fallait au bon moment.

Kim est une animatrice de télé connue. Alors qu’elle vient de tromper son mari après une remise de prix pour laquelle elle a raté l’anniversaire de sa fille, Kim est tuée par une météorite. A son réveil elle n’est pas au paradis, loin de là, elle est dans le corps d’une fourmi à cause du mauvais karma accumulé pendant sa vie. Il va falloir inversé la tendance si elle veut espérer un jour redevenir humaine.

J’étais très tentée par ce livre loufoque pour pleins de petites choses. Déjà pour la réincarnation et le karma, car ce sont des sujets qui m’intéressent. Mais aussi plus simplement par la couverture que j’ai trouvée très adaptée au thème ! Bien que ma déception fut immense, il n’y a pas de dogue allemand dans ce livre…

Kim est un personnage très attachante, même si dans sa première vie elle n’était pas un exemple de bon karma. J’ai beaucoup ris aux situations improbables du livre. On ne peut pas s’empêcher de se mettre à sa place et de ressentir toutes ses émotions.

Cette lecture drôle et fraîche nous fait tout de même réfléchir. Déjà sur nos agissements envers-nous même et les autres mais aussi sur la condition de l’animal dans notre monde. Et moi qui suis une fan absolue d’animaux en tout genres ce livre m’a interpellée.

La plume de cet auteur est très fluide, j’ai lu ce livre en une fois. Un roman très rapide à lire, donc.

En bref, si vous avez besoin d’un livre sans prise de tête pendant vos vacances, et que le résumé vous parle, vous allez sûrement aimer ce bouquin. Et vous n’avez pas d’excuse, il est plutôt court et se lit très bien !

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Intrigue : +++++

Personnages : +++++

Ecriture : +++++