Mon avis sur « Tu ne me briseras pas » de Camille Versi

Quatrième de couverture :

Sophie est une étudiante surmenée : entre ses deux licences, ses heures de tutorat bénévole, ses cours de flûte traversière, elle court après le temps… Jusqu’au jour où elle rencontre Octave, au café où elle travaille pour payer ses études. Plus vite qu’elle ne l’aurait imaginé, la jeune femme tombe sous son charme.

Mais son bonheur vacille lorsqu’un faisceau d’éléments troublants la poussent à voir au-delà de la façade parfaite qu’Octave lui présente. Où se rend-il en secret tous les dimanches matin ? Pourquoi n’a-t-il plus de relations avec sa famille ? Et surtout, à qui appartiennent ces bagues de fiançailles cachées dans son armoire ?

Ébranlée, Sophie décide d’enquêter… Et bien malgré elle, elle va exhumer un passé où l’amour et l’amitié sont entachés de sentiments bien plus sombres.

Une réécriture moderne et percutante de Barbe Bleue qui explore les ressorts psychologiques de la manipulation.

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Mon avis sur « Le syndrome du spaghetti » de Marie Vareille

De la même autrice :

Elia, Passeuse d’âmes

Quatrième de couverture :

Léa a 16 ans, un talent immense et un rêve à réaliser. Entraînée par son père, qui est à la fois son modèle, son meilleur ami et son confident, elle avance avec confiance vers cet avenir tout tracé.
À 17 ans, Anthony, obligé de faire face à l’absence de son père et aux gardes à vue de son frère, ne rêve plus depuis longtemps.
Ils se sont croisés une fois par hasard ; ils n’auraient jamais dû se revoir.
Pourtant, lorsque la vie de Léa s’écroule, Anthony est le seul à pouvoir l’aider à se relever.
Leurs destinées s’en trouvent à jamais bouleversées.

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Mon avis sur « Les sentinelles de Pangéa » de Joslan F. Keller

Les sentinelles de Pangéa

Joslan F. Keller

Edition : Scrineo

Parution : 15 octobre 2020

Genre : Science-fiction / Young-Adult

Pages : 359.

Quatrième de couverture :

Sur l’île-monde de Pangéa, où la magie cohabite avec une science balbutiante, la vie s’écoule, paisible et bucolique. Sauf que dans une région excentrée, le sandjak de Valbara, une épidémie d’origine inconnue consume la population et les animaux. Au cœur de la zone touchée se trouve la grotte sacrée de Snerochka.

Pour découvrir l’origine du mal, le Conseil des Sept Sages de Pangéa décide de missionner une ligue de spécialistes. À sa tête, Lowana, une jeune biologiste experte en environnement et Renjo, un garde forestier taciturne.

Tous deux vont devoir apprendre à s’apprivoiser, au long d’une expédition semée d’embûches. Un périple jalonné par la présence permanente des énigmatiques Sentinelles, de grandes tiges de métal dont on ignore tout.

Lowana va-t-elle trouver la cause du fléau ?

Au terme de cette quête de tous les dangers, il y a peut-être des secrets encore plus terribles que tout ce qu’elle avait pu imaginer…

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Mon avis sur « L’infini des possibles » de Lori Nelson Spielman

Publication Instagram beauté éthique nudeL’infini des possibles

Lori Nelson Spielman

Traduction : Elisa Guenon

Edition : Cherche midi

Parution :  28 mai 2020

Genre : Contemporain

Pages : 528.

 

j'ai aimé

 

Quatrième de couverture :

Paulina Fontana, vieille dame pleine de fantaisie et de créativité en rupture de ban avec sa famille américaine, invite ses petites-nièces, Emilia et Lucy, à visiter son pays natal, l’Italie. Elle leur fait une déclaration fracassante : le jour de son quatre-vingtième anniversaire, elle rencontrera l’amour de sa vie et mettra fin une fois pour toutes à la « malédiction de la deuxième fille de la famille Fontana ».
Cette « malédiction » n’est probablement rien d’autre qu’une coïncidence, un vieux mythe. Pourtant, personne ne peut nier que pendant des siècles, pas une seule deuxième née de la famille Fontana n’a trouvé l’amour.
Que se passerait-il si ce supposé sort était brisé ? Emilia, qui, à 29 ans, semble accepter cette malédiction, trouverait-elle à son tour le grand amour ?
Au cœur de la campagne Toscane, Paulina va finalement révéler des secrets de famille autrement plus troublants qu’une malédiction vieille de plusieurs siècles…

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Mon avis sur « Des oeillets pour Antigone » de Charlotte Bousquet

Publication Instagram beauté éthique nudeDes oeillets pour Antigone

Charlotte Bousquet

Edition : Scrineo

Parution :  18 juin 2020

Genre : Fiction historique

Pages : 345.

 

j'ai aimé

 

Lus de la même autrice :

Nos vies suspenduesA coeurs battantsCelle qui venait des plainesSang de luneLà où tombent les anges

 

Quatrième de couverture :

1991, France. En triant les affaires de sa sœur disparue cinq ans plus tôt dans des circonstances tragiques, Luzia retrouve son vieux médaillon ainsi que son journal intime. À sa lecture, elle s’interroge : et si son suicide était lié à ce bijou et à la mort de leur tante vingt ans auparavant à Évora ?

Quand elle commence à être assaillie de cauchemars et d’hallucinations, la jeune femme se lance sur les traces de la vérité. Une quête qui la plongera dans le passé de sa famille, dans un Portugal déchiré par la dictature de Salazar…

Trois époques.
Trois femmes.
Trois destins.
Une volonté : être libre.

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Mon avis sur « L’alchimiste » de Paulo Coelho

Publication Instagram beauté éthique nude (2)L’alchimiste

Paulo Coelho

Traduction : Jean Orecchioni

Edition : J’ai lu

Genre : Philosophie

Pages : 192.

 

je n'ai pas aimé

 

Quatrième de couverture :

Un jeune berger andalou, Santiago, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des pyramides. Il découvrira pendant son périple la clef d’une quête spirituelle. ‘L’ Alchimiste’ est le récit d’une quête, celle de Santiago, un jeune berger andalou parti à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides. Dans le désert, initié par l’alchimiste, il apprendra à écouter son coeur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve. Destiné à l’enfant que chaque être cache en soi, ‘L’ Alchimiste’ est un merveilleux conte philosophique, que l’on compare souvent au ‘Petit Prince’, de Saint Exupéry, et à ‘Jonathan Livingston le Goéland’, de Richard Bach.

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Mon avis sur « Le Prieuré de l’Oranger » de Samantha Shannon

le prieuré de l'orangerLe Prieuré de l’Oranger

Samantha Shannon

Traduction : Charlotte Lungstrass-Kapfer

Edition : De Saxus

Genre : Fantasy

Pages : 958.

 

j'ai aimé

 

Quatrième de couverture :

Un monde divisé. Un reinaume sans héritière. Un ancien ennemi s’éveille. La maison Berethnet règne sur l’Inys depuis près de mille ans. La reine Sabran IX qui rechigne à se marier doit absolument donner naissance à une héritière pour protéger son reinaume de la destruction, mais des assassins se rapprochent d’elle… Ead Duryan est une marginale à la cour. Servante de la reine en apparence, elle appartient à une société secrète de mages.
Sa mission est de protéger Sabran à tout prix, même si l’usage d’une magie interdite s’impose pour cela. De l’autre côté de l’Abysse, Tané s’est entraînée toute sa vie pour devenir une dragonnière et chevaucher les plus impressionnantes créatures que le monde ait connues. Elle va cependant devoir faire un choix qui pourrait bouleverser son existence. Pendant que l’Est et l’Ouest continuent de se diviser un peu plus chaque jour, les sombres forces du chaos s’éveillent d’un long sommeil…
Bientôt, l’humanité devra s’unir si elle veut survivre à la plus grande des menaces.

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Comment je gère mes partenariats ? Je vous dis tout

Oyez, oyez, bien le bonjour à toi qui viens sur cet article. Il est vendeur le titre, non ? Très différent de ce que j’ai l’habitude de publier, j’avais envie de parler à coeur ouvert. Pas littéralement sinon c’est dégeu et douloureux. Je voulais vous parler des partenariats, ô combien adulé, détesté, mystifié sujet dans la sphère littéraire. J’entends encore trop de conneries et je voulais être transparente sur ce sujet. *voix de présentatrice télé* : pression, face cachée, mine d’or, aujourd’hui nous vous révélons comment Mégane, blogueuse littéraire, gère ses partenariats…

Avant toute chose j’aimerais préciser que c’est MA façon de fonctionner et que je ne fais pas de généralités. Vous irez voir les copains-copines à droite à gauche, si ça se trouve ils feront pas pareil. Si vous avez des questions, Marie du compte Muffins and books a répondu à une longue FAQ sur le sujet. Le but n’était pas de reprendre les questions mais de vous apporter mon point de vue.

Alors déjà, comment que ça s’passe pour avoir des partenariats ?

Le tout premier que j’ai eu, on me l’a proposé gentiment par mail. J’étais excitée comme une puce et j’ai tout de suite accepté. Malheur : j’ai détesté au point que j’ai du l’abandonner… Oupsi. J’avoue honteusement que j’ai essayé d’étouffer, d’enterrer, et d’oublier définitivement ce grand moment de gêne. Avec le recul j’aurais dû me sentir plus légitime et expliquer pourquoi aux concernés, j’ai abandonné le roman. Je m’étais dit que si je disais du mal du livre… on ne me proposerait plus jamais de partenariats et qu’on allait mettre mon pseudo EN GRAS EN ROUGE SOULIGNE dans une liste mystérieuse que j’étais une pestiférée. Spoiler alert : si vous n’aimez pas un Service Presse (bestiole communément appelée SP), donc un livre que l’on vous envoie, personne ne va vous jeter de cailloux, promis. Et si on te jette des cailloux, viens me voir j’irais leur péter la gueule.

Depuis j’ai pris du poil de la bête, et je n’hésite pas à abandonner un livre que je n’aime pas, ou à dire pourquoi je n’ai pas aimé sur une chronique du blog. Vous aurez toujours un remerciement en début de chronique pour spécifier qu’il s’agit d’un livre que l’on m’a envoyé gratuitement afin d’être claire comme de l’eau de roche. Mais ce n’est pas parce qu’on me l’a envoyé que je vais forcément l’aimer. Beaucoup ont peur, légitimement, que l’on perdre de notre objectivité si c’est une maison d’édition ou un auteur/une autrice qui nous envoie son bouquin.

Personnellement je le lis avec mes yeux de lectrice lambda et si je trouve que l’histoire est à chier bin je le dis… Il faut savoir que je précise toujours que mes avis sont SUBJECTIFS et j’essaie d’argumenter pourquoi je n’ai pas accroché. En aucun cas je ne critique l’auteur/l’autrice derrière une oeuvre. D’ailleurs je ne tag pas les auteurs/autrices sur les posts où j’ai un avis bof ou affreux sur leur roman. Ca serait un peu comme aller voir quelqu’un dans la rue, lui tapoter l’épaule et lui dire « Tes fringues sont absolument immondes, j’aime pas du tout. En plus ça fait ressortir tes yeux de merlan frit. Achètes-toi un style ». Tu vois, ça fait mauvais genre quand même.

Ouais non on reste bienveillant stp.

Perso, je ne suis pas rémunérée pour ça. D’autres les sont. Ce n’est pas pour autant qu’ils perdent leur objectivité. A vous de juger selon qui vous suivez, je ne parle pas à leur place.

Ok c’est cool, mais comment on les obtient, ces fameux partenariats ?

En ce qui concerne les propositions/demandes c’est propre à chaque maison d’édition ou auteur/autrice. Certain.e.s viennent en DM ou par mail me proposer un partenariat sur le long terme ou de manière ponctuelle. D’autres envoient leur catalogue et il n’y a plus qu’à choisir. Il m’arrive de repérer une sortie et d’y aller au culot -yolo-. Dans ce cas là, j’envoie un mail en essayant d’expliquer pourquoi je voudrais lire ce livre.

Il y a aussi la plateforme NetGalley, si tu lis en ebook. Ce qui est plutôt chouette : tu as un catalogue avec tous les livres proposés dessus, et toi tu sollicites tel ou tel roman selon ce qui t’as tapé dans la cornée. C’est accepté ou non. Si c’est oui (VICTOIIIIIIRE), il faudra donner ton avis une fois lu, directement sur la plateforme. Simple, basique. Tu peux même devenir partenaire privilège auprès des maisons d’édition, et là c’est jackpot. Dès qu’une maison d’édition propose un ouvrage sur la plateforme, tu es libre de le télécharger sans avoir à demander (il faudra toujours donner un petit avis après quand même, faut pas abuser, on peut pas avoir le beurre, l’argent du beurre, et le crémier avec).

Il m’arrive de refuser certains livres, quand ils ne sont pas à mon goût ou que l’auteur/autrice est particulièrement malpoli.e dans la demande. Oui, ça arrive. Je suis pas un panneau de pub, OKAY ?! Je refuse aussi certains produits trop éloignés de ce pourquoi les gens me suivent. Mais j’ai déjà accepté de recevoir une bougie en échange d’une photo Insta, par exemple.

Le sujet délicat des partenariats étant que, puisque l’on est blogueur et que cela demande du travail et de l’investissement de lire un livre, le chroniquer, le prendre en photo, en parler, etc. pourquoi ne sommes-nous pas payés ?

Il ne faut pas oublier que si on nous envoie gratos des bouquins, c’est pour en faire la promotion. Les objectifs peuvent varier selon le livre, mais grosso modo faut qu’il soit connu, que les gens en entendent parler, pour qu’il se vende. C’est sûr que plus vous avez une audience faible, moins vous aurez de partenariat. Alors libre à toi de demander rémunération contre un partenariat. Je ne m’en sens pas légitime avec la taille de mon audience actuelle (ouais j’aime pas dire avec mon nombre d’abonnés, ça fait un peu chelou genre tu m’appartiens). Peut-être qu’à l’avenir si on est de plus en plus je viendrais à me dire que mon affaire elle commence à toucher vraiment beaucoup de monde et que ça devient un média « puissant » donc ça vaut son pesant de cacahuètes.

J’ai aussi entendu l’argument, qui n’est pas si bête si on l’analyse, que les envois de SP peuvent être fait auprès de lecteurs (qu’ils soient blogueurs ou non) pour connaître son lectorat. En soi c’est intéressant. Finalement c’est pas tellement le nombre de personnes qui lira ton avis qui intéresse, mais c’est ton ressenti face au livre. Derrière, la maison d’édition, l’auteur ou l’autrice saura à qui vendre son livre ou quoi publier / écrire selon telle ou telle cible.

Lorsque j’ai demandé ou accepté de recevoir un roman, je me sens « obligée » de le lire. Si j’ai accepté de respecter un délai, comme avec certaines ME ou avec la masse critique Babelio, bin je le respecte quoi. Sinon, je le lis quand il me fait envie. J’avoue que j’accepte de moins en moins les délais parce que j’estime que dans la mesure ou je ne suis pas rémunérée pour ce travail, même si on m’a offert un roman (et parfois des goodies), il faut que je le lise quand il me tente le plus.

EN REVANCHE, si on m’envoie un roman sans mon accord, je suis libre ou non de le lire, le montrer, en parler, le donner à mon chien, etc.

Voilà, j’avais envie d’être franche. Et d’éclairer quelques lanternes sur le sujet. Patience petite fourmi, si tu rêves de recevoir un SP ton tour viendra. Comme pour toute chose, il faut bosser dur et se donner les moyens de réussir. On n’a rien sans rien. En tout cas c’est un sujet qui n’a pas fini de faire parler de lui. Bisous paillette, et à bientôt, pour de nouvelles aventures.

Mon avis sur « Avoue que t’en meurs d’envie » de Kristen Roupenian

avoue que t'en meurs d'envieAvoue que t’en meurs d’envie

Kristen Roupenian

Traduction : Marguerite Capelle

Edition : Nil

Genre : Nouvelle

Pages : 396.

 

j'ai adoré

Quatrième de couverture :

Un couple bien sous tous rapports héberge un ami qui tente d’échapper à une relation toxique – pour mieux sombrer dans une autre que personne n’avait vue venir et qui le détruira. Une célibataire sceptique qui suit la recette d’un vieux grimoire pour trouver l’amour est dépassée par l’apparition d’un homme parfait dans sa cave. L’anniversaire d’une petite fille inquiétante prend une tournure dramatique après qu’elle a  » souhaité  » le mal. Une jeune femme se retrouve au lit avec un homme qu’elle a rencontré peu de temps auparavant et se demande s’il ne s’agit pas d’un psychopathe déguisé en  » mec à chats « … Kristen Roupenian plonge dans nos fantasmes et délires à travers douze nouvelles qui explorent avec une écriture très réaliste et un humour impitoyable et souvent sombre les relations humaines. Une voix impétueuse et mortelle.

 

Avis :

En voilà un roman déroutant. Merci NetGalley et Robert Laffont pour l’envoi. Comme pour « J’ai des idées pour détruire ton ego » j’ai d’abord été interpellée par cette couverture très réussie et ce titre racoleur. Heureusement j’ai beaucoup plus accroché avec celui-ci qu’avec l’autre sortie littéraire de chez Nil Editions.

Composé de 12 nouvelles, si j’ai bien compté, leur seul point commun c’est l’angoisse que vous ressentirez en les lisant ou un profond sentiment dérangeant. Ce n’est ni un contemporain, ni un fantastique, ni un roman de fantasy ou de science-fiction et c’est un peu tout ça à la fois. Va te retrouver là dedans Simone.

Complètement décalé et carrément ovni, j’ai tout de même adoré ce roman. Une adoration un peu maso parce que chaque nouvelle m’a mise dans un malaise plutôt palpable. Dommage que l’on ai finalement des fins trop ouvertes à chaque fois. Si parfois ça fonctionnait, sur d’autres nouvelles ça m’a gêné.

La grande force de cet ouvrage réside dans la plume qui vous fera ressentir des émotions puissantes. Rare sont les livres qui arrivent à me gêner et me bousculer aussi bien. Il n’y a pas un chapitre qui m’a laissé de marbre, même ceux dont je n’ai pas compris la fin. Alors chapeau l’artiste.

J’ai pris des courtes notes à la fin de chaque histoire pour vous partager un court ressenti sur chacune d’entres elles, je vous les mets telles qu’elles ont été écrites (bienvenue dans mon cerveau) :

  • Nouvelle 1 – wow terriblement dérangeante. Malsaine au possible et très noire.
  • Nouvelle 2 – Histoire très angoissante. Fin moyenne.
  • Nouvelle 3 – Frontière entre réel et fantastique. J’avoue que je n’ai pas compris. Mais très malaisant jusqu’à la fin.
  • Nouvelle 4 – Ultra particulier aussi. Fantastique ou réel ? Dérangeante en crescendo.
  • Nouvelle 5 – Conte fantasy intéressant. Fin bof, pas trop compris l’intérêt ou la morale
  • Nouvelle 6 – Ca frappe là où ça fait mal. Semble douloureusement vrai.
  • Nouvelle 7 – Extrêmement réaliste, incisif.
  • Nouvelle 8 – Pas vraiment compris l’intérêt ni la fin ?
  • Nouvelle 9 – Etrangement addictif. Pas grand intérêt mais j’ai énormement aimé. J’avais deviné la fin.
  • Nouvelle 10 – Difficile de distinguer le vrai du faux. Profondément dérangeant. Une impression qui tord le bide
  • Nouvelle 11 – Hyper glauque mais sans morale…
  • Nouvelle 12 – Incroyablement dérangeant.

Forcément comme dans tout recueil du style on n’aime pas tout de la même manière et j’ai plus ou moins accroché à certaines. Si vous aimez les lectures qui dérangent, la noirceur humaine et l’imaginaire vous serez servis. Un livre qui laisse une jolie trace indélébile au lecteur, donc une belle réussite.

En bref, complètement inattendu, je me suis laissée embarquer par une écriture d’une efficacité redoutable. J’ai frissonné plus d’une fois. Je recommande à ceux qui ont le coeur accroché !

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Moi face à ce livre :

Ces sorties de Septembre qui me font de l’oeil

sorties septembre

 

La Mélansire d’Estelle Fitz

A paraitre le 4 septembre chez Albin Michel

 

6 ans de Elle Seveno

A paraitre le 5 septembre chez Hugo Romance

 

American Royals de Katharine McGee

A paraitre le 5 septembre chez Lumen

 

Moon Brothers de Sarah Crossan

A paraitre le 11 septembre chez Rageot

 

Kings of Scars de Leigh Bardugo

A paraitre le 18 septembre chez Page Turners

 

Donne-moi ton coeur de Sara Wolf

A paraitre le 19 septembre chez PKJ

 

Tout quitter de Anais Vanel

A paraitre le 25 septembre chez Flammarion

 

Tiny Pretty Things, tome 2 : Shiny Broken Pieces de Sona Charaipotra et Dhonielle Clayton
A paraitre le 18 septembre chez Hachette Romans

 

*liste non exhaustive j’ai sûrement loupé des choses !

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Alors, ça donne envie, non ?