L’alchimiste

Paulo Coelho

Traduction : Jean Orecchioni

Edition : J’ai lu

Genre : Philosophie

Pages : 192.

 

 

Quatrième de couverture :

Un jeune berger andalou, Santiago, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des pyramides. Il découvrira pendant son périple la clef d’une quête spirituelle. ‘L’ Alchimiste’ est le récit d’une quête, celle de Santiago, un jeune berger andalou parti à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides. Dans le désert, initié par l’alchimiste, il apprendra à écouter son coeur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve. Destiné à l’enfant que chaque être cache en soi, ‘L’ Alchimiste’ est un merveilleux conte philosophique, que l’on compare souvent au ‘Petit Prince’, de Saint Exupéry, et à ‘Jonathan Livingston le Goéland’, de Richard Bach.

 

Avis :

Bon là on s’attaque à du gros monument de la littérature. Je n’ai pas l’habitude de lire des ouvrages aussi connus et encore moins de la philosophie. Mais on m’en a énormément parlé et ma soeur m’a mis le bouquin entre les pattes donc forcément, j’avais envie de le découvrir.

Pas de suspens, je n’ai pas accroché du tout. Les chapitres sont plutôt courts et apportent chacun une sorte d’enseignement sur la vie à travers une expérience. Mouais, j’ai plutôt été insensible à ces leçons. J’imagine que j’étais hermétique au concept.

J’ai aussi eu du mal avec l’écriture. Elle ne m’a pas convaincue dès les premières pages, forcément ça allait coincer pour la suite. C’est une sorte de conte philosophique, ce n’est pas pour tout le monde. Je m’attentais sûrement à quelque chose d’incroyable et de « mind-blowing » vu comment on m’en a parlé. Finalement ça n’a pas fonctionné sur moi. Surtout que je voyais d’avance où on voulait en venir.

En bref, ce n’est pas que c’était purement mauvais, plus que je n’étais pas embarquée par cette lecture.

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Quand j’ai l’audace de ne pas aimer un classique :