Mon avis sur « Le Pouvoir » de Noami Alderman

Publication Instagram beauté éthique nudeLe Pouvoir

Naomi Alderman

Traduction : Christine Barbaste

Edition : Le Livre de Poche

Parution : 28 Août 2019

Genre : Science-fiction / Dystopique

Pages : 512.

 

mitigé

 

TW (à surligner pour voir) : viol – violence

 

Quatrième de couverture :

Et si les femmes prenaient enfin le pouvoir dans le monde entier ?

Aux quatre coins du monde, les femmes découvrent qu’elles détiennent « le pouvoir ».

Du bout des doigts, elles peuvent soudain infliger une douleur fulgurante – et même la mort.

Soudain, les hommes comprennent qu’ils deviennent le « sexe faible ».

Mais jusqu’où iront les femmes pour imposer ce nouvel ordre ?

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Mon avis sur « Show Stopper » d’Hayley Barker

show stopperShow Stopper

Hayley Barker

Traduction : Laurence Bouvard

Edition : Page Turners

Genre : Dystopie

Pages : 536.

 

j'ai abandonné

Abandon ~ 300 pages

 

Quatrième de couverture :

Londres, 2045.
La société est divisé en deux catégories.
Les bâtards sont réduits à l’état d’esclaves, leur vie n’a aucune valeur. Les purs représentent les privilégiés qui ont accès aux soins et aux emplois nobles. Le cirque de l’horreur est leur divertissement préféré. Ils attendent le clou du spectacle: l’accident mortel qui leur provoquera le grand frisson. Ben, fils de ministre, assiste à sa première représentation et tombe sous le charme d’Hoshiko, la funambule star du spectacle. Mais derrière l’éblouissement et le faste de l’arène, il découvre l’horreur. Trouvera-t-il le courage de résister pour mettre fin au carnage ?

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Mon avis sur « In Real Life, tome 2 : Mémoire Vive » de Maïwenn Alix

in real life tome 2In Real Life, tome 2 : Mémoire Vive

Maïwenn Alix

Edition : Page Turner – Milan

Genre : Dystopique

Pages : 475.

 

pas mal

 

Mon avis sur le premier tome ici

 

Quatrième de couverture :

La suite des aventures de Lani. Elle est confrontée à un conflit de loyauté. Un récit qui amène à se demander si combattre un système revient également à lutter contre tous ceux qui le composent.

 

Avis :

Merci à Page Turners pour l’envoi de ce roman. Encore une fois, merci Summaries book pour le résumé du tome 1 ! Même si pour une fois l’éditeur a mis une page de « previously dans In Real Life » qui est plutôt agréable. Moi et ma mémoire de poisson rouge…

Je vous avoue avoir moins accroché avec ce tome 2, alors que j’avais vraiment adoré le premier ! J’ai l’impression qu’il a le défaut de beaucoup de tome 2, c’est à dire servir de transition. Je ne sais pas si c’est moi qui suis passée à côté ou si c’est le bouquin qui était moins dynamique que le premier.

Pourtant, il ne manque pas de rebondissements intéressants ! C’est ce que j’aime avec l’autrice, elle a su construire une dystopie avec des points de vus différents de ce qu’on peut lire. Elle explore des sujets presque politiques et aucun de ses personnages n’est manichéen. Et ça, bravo madame parce qu’en dystopie c’est trop souvent « les méchants contre les gentils »…

Ce qui a failli pour moi c’est le rythme. J’ai trouvé qu’il y avait pas mal de passages longs et inutiles ou de répétitions. On a une impression de lourdeur alors que l’intrigue est maline. J’ai mis des plombes à lire parce qu’il y a des passages entiers qui traînent de la patte.

Comme dans beaucoup de romans avec ces défauts, tout s’accélère à la fin, les surprises font leur petit effet, et on vibre avec les personnages. Dommage qu’il ait fallu attendre les trois quarts du livre pour ça.

En bref, j’attends la suite pour pouvoir découvrir ce qu’on nous réserve ! En plus elle arrive tout bientôt…

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Moi quand je suis clairement déçue de ne pas avoir aimé

Mon avis sur « Vox » de Christina Dalcher

voxVox

Christina Dalcher

Traduction : Ana Herrera

Edition : Nil

Genre : Dystopique

Pages : 432.

 

j'ai adoré

 

Quatrième de couverture :

Jean McClellan est docteure en neurosciences. Elle a passé sa vie dans un laboratoire de recherches, loin des mouvements protestataires qui ont enflammé son pays. Mais, désormais, même si elle le voulait, impossible de s’exprimer : comme toutes les femmes, elle est condamnée à un silence forcé, limitée à un quota de 100 mots par jour. En effet, le nouveau gouvernement en place, constitué d’un groupe fondamentaliste, a décidé d’abattre la figure de la femme moderne. Pourtant, quand le frère du Président fait une attaque, Jean est appelée à la rescousse. La récompense ? La possibilité de s’affranchir – et sa fille avec elle – de son quota de mots. Mais ce qu’elle va découvrir alors qu’elle recouvre la parole pourrait bien la laisser définitivement sans voix…

 

Avis :

Dès l’annonce de sa sortie, j’étais intriguée par ce livre dystopique ET féministe. Les premiers avis sont tombés et ils étaient élogieux. J’avais hâte de découvrir ce roman à mon tour. Un énorme merci à ma copine Ouidad qui me l’a offert.

Dès le début, l’ambiance est pesante, oppressante. Il n’y a pas forcément d’action, comme dans les romans dystopiques de la littérature Young Adult que j’aime tant, mais c’est une tension en toile de fond qui fonctionne bien.

On défile les pages, on veut en savoir plus. L’histoire est extrêmement bien menée. On se laisse guider dans cette intrigue glaçante. On ne peut que se sentir révolté. Plusieurs fois je me suis senti bouillir de rage et je me suis sentie aussi impuissante que l’héroïne. Ce qui est vraiment terrifiant c’est que tout a l’air réel. On a l’impression que ça pourrait arriver du jour au lendemain. Mais alors, comment se sortir de cette spirale vicieuse ?

Comment se plier à ce compteur qui ne vous laisse dire que 100 mots par jour, quand on sait qu’en moyenne on en déclare 16 000 à 20 000 ! Comment se révolter sans finir exécuté ? Comment reprendre le pouvoir quand on vous enlève tous les droits ?

J’ai énormément aimé les personnages. Ils sont loin des clichés et loin d’être manichéens. J’ai l’impression que c’est un univers construit du début à la fin. J’ai été surprise par l’originalité. Tout s’accélère dans les derniers chapitres, on est tenus en haleine jusqu’aux dernières pages.

En bref, un livre qui ne vous laissera sûrement pas de marbre. Je ne peux que vous recommander cette histoire qui m’aura rendue dingue.

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NON MAIS REGARDEZ CE TRAILER QUOI :

In Real Life, tome 1 : Déconnexion – Maïwenn Alix

in real lifeIn Real Life, tome 1 : Déconnexion

Maïwenn Alix

Edition : Page Turner – Milan

Genre : Dystopique

Pages : 408.

 

j'ai adoré

 

Quatrième de couverture :

Dans un futur postapocalyptique, les humains vivent dans de petites implantations agricoles, travaillant à régénérer les écosystèmes endommagés. Chaque individu est connecté au Système. À travers ce vaste réseau numérique, les gens peuvent communiquer par la pensée et visiter pendant leur sommeil des « rêves éveillés », des rêves si réels qu’ils permettent aux membres du Système de vivre une existence virtuelle en parallèle de leur vie dans l’implantation. Chaque nuit, les adolescents s’affrontent dans des épreuves de construction de rêves. Le jour de la Répartition, les plus doués quitteront leur implantation pour consacrer leur vie à l’élaboration des rêves éveillés. Brutalement arrachée au Système alors qu’elle est sur le point de remporter le Tournoi des constructeurs, Lani découvre un monde « hors connexion », dans lequel son pouvoir d’élaborer des rêves lui offre un destin inattendu.

 

Avis :

Les dystopies étant un genre que j’affectionne tout particulièrement, en voyant cette sortie j’étais très impatiente ! Merci à Page Turner pour l’envoi de ce roman.

En commençant, je ne me souvenais plus du pitch de départ et c’était plutôt plaisant de découvrir l’univers au fur et à mesure. Tout est bien décrit, on s’imagine très bien les scènes. Je rêverais de voir une adaptation au cinéma !

Après un début un poil lent et qui a quelques effets de répétitions, j’ai trouvé qu’on prenait une direction intéressante. Certes, c’est une dystopie, mais vu sous un angle nouveau. J’ai trouvé ça très malin de la part de l’auteure, et très logique finalement. Cela rajoute une certaine crédibilité.

Les personnages sont travaillés et matures. Ils sont peut-être un poil lisse mais cela reste logique par rapport au contexte. L’intrigue nous questionne sur des sujets très actuels comme le contrôle que peut avoir un gouvernement sur une population, les limites de la technologies, etc.

La deuxième partie du roman est haletante. C’est un excellent premier tome qui promet de belles choses pour la suite. J’ai vraiment hâte !

En bref, un excellent roman dystopique, digne des plus grands du genre. J’ai hâte de lire la suite, qui arrive très vite je l’espère.

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Un livre que je verrais bien au cinéma …

Interfeel – Antonin Atger

interfeelInterfeel

Antonin Atger

Edition : Pocket Jeunesse

Genre : Dystopique

Pages : 490.

 

j'ai adoré

 

Quatrième de couverture :

Et si le monde entier avait accès à vos émotions ?
Nathan et ses amis sont en permanence connectés à Interfeel, un réseau social qui permet de partager ses émotions. Pour l’immense majorité des habitants de la planète, connaître les émotions de chacun est tout aussi naturel que téléphoner. Mais un événement tragique va se produire sous leurs yeux et bouleverser Nathan. Fasciné par Élizabeth, une  » sans-Réseau  » qui vit en marge de la société, il voit toutes ses certitudes vaciller. Ce que les deux adolescents découvriront pourrait bien changer le monde à jamais…

 

Avis :

Un livre qui n’a pas traîné longtemps dans ma PAL parce qu’il me tentait vraiment énormément. Déjà, rien que le mot « dystopie », et vous m’avez perdue !

J’en ai beaucoup entendu parler sur les réseaux comme l’univers Young Adult se rapprochant de la série Black Mirror. Sachant que c’est une de mes séries favorites de tous les temps il me fallait absolument ce bouquin. En plus, j’adore cette couverture.

Je n’ai pas été déçue par l’univers. J’ai adoré ce monde qu’a créé l’auteur. On nous met en garde sur la technologie et la façon dont on peut vite tomber dans l’addiction. Il soulève beaucoup de questions concernant cette technologie et le bouleversement dans les relations que cela peut avoir. On est dans un monde plus ou moins futuriste mais je l’ai trouvé extrêmement crédible. Et je peux vous assurer que ça fait froid dans le dos.

Le gros point fort de ce roman c’est son rythme. Pour un premier tome, il met les choses en place tout en explorant plusieurs intrigues. On ne traîne pas en longueur et ce premier opus ne fait pas que présenter son univers. Il se passe énormément de choses et je ne m’attendais pas du tout à cette tournure des événements.

Dans un premier temps j’ai eu du mal à distinguer les personnages secondaires. Mais au fur et à mesure de l’histoire on apprend à mieux les connaître. J’ai trouvé intéressant la façon dont l’auteur se joue des relations entre eux.

En bref, un excellent premier tome. Il est original, prenant et très crédible. Cette dystopie est réaliste et c’est ce qui la rend glaçante. J’ai vraiment hâte de lire la suite !

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D’ailleurs si vous ne l’avez pas déjà fait : regardez Black Mirror

 

Chroniques d’un autre monde, tome 1 : les marcheurs de la Terre – P. C. Cast

chroniques d'un autre mondeChroniques d’un autre monde, tome 1 : les marcheurs de la Terre

P. C. Cast

Traduction : Karine Suhard-Guié

Edition : Page Turners – Bayard

Genre : Dystopique / Young Adult

Pages : 720.

 

j'ai abandonné

 

Quatrième de couverture :

En représailles à l’action néfaste des hommes sur la Terre, le soleil a détruit les villes où règne désormais un peuple agonisant. Pour tenter de survivre, deux tribus ennemies se sont réfugiées dans la forêt.
Les Compagnons, guidés par leur chef, le Prêtre du Soleil, ont élu domicile dans les arbres pour échapper aux créatures qui grouillent au sol.
Les Marcheurs de la Terre se sont installés dans des tanières qui les protègent des prédateurs et parfois d’eux-mêmes… Atteints de la Fièvre de la Nuit, les hommes comptent sur leur Femme Lune pour les purifier de ce mal.

Nik, le fils du Prêtre du Soleil, veut prouver à son clan qu’il est digne de confiance.
Mari, la fille de la Femme Lune, n’a qu’une seule idée en tête : fuir.
Tout les oppose mais leur destin est lié.
L’avenir de cet autre monde est désormais entre leurs mains.

 

Avis :

J’attendais avec impatience cette nouvelle parution venant de chez Page Turners, que je remercie pour l’envoi, car on nous avait pas mal teasé sur sa sortie.

Je vous avoue qu’en le recevant, les 700 pages m’ont découragées. Les pavés ce n’est pas mon truc, et à moins d’avoir un beau petit chef d’oeuvre, souvent ça part en longueurs. En revanche je trouve l’objet livre magnifique.

J’ai eu un mal fou à entrer dans l’histoire. C’est une espèce de dystopie fantasy très construite, mais on ne nous explique pas tout au début et je me suis sentie totalement larguée. A tel point que c’est ce qui m’a empêché d’apprécier ce livre parce qu’au bout d’un moment, à force de ne rien comprendre, on lâche l’affaire.

L’intrigue est lente. Ce ne sont pas vraiment des longueurs car il se passe beaucoup de choses. Mais l’histoire prend sont temps pour avancer c’est le genre de chose qui me déplaît. Je ne sais pas si c’est un style d’écriture mais je ne rentrais pas dedans.

En revanche il se lit assez vite. C’est une brique mais les pages défilent assez facilement. Les personnages sont plutôt intéressants mais ils ne m’ont pas plus marqué que ça. En revanche j’ai adoré les relations Compagnons / Canins !

L’univers est tout de même très bien construit et c’est assez original dans son genre. Je dois avouer que sur ce point, c’est très solide. Malheureusement ça n’aura pas suffit pour moi.

Alors arrivée au bout de 420 pages, voyant que j’ai toujours cette impression de ne comprendre qu’à moitié, de ne pas savoir où l’on va et de me forcer à reprendre la lecture je me suis dit stop. La lecture reste un plaisir, alors certes quand c’est un service presse ça m’embête beaucoup, mais je ne veux pas me forcer, alors j’ai abandonné cette lecture.

En bref, je suis très déçue de ne pas avoir accroché avec ce roman. Il plaira surement à des personnes aimant les romans très détaillés et construits, et à qui ça ne dérange pas d’être dans le flou et de ne pas savoir où l’auteur.e nous emmène. Je pense que ce premier tome reste très introductif.

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Quand un livre me donne une mini panne de lecture :

Gary Cook, tome 1 : Le pont des oubliés – Romain Quirot et Antoine Jaunin

gary cookGary Cook, tome 1 : Le pont des oubliés

Romain Quirot et Antoine Jaunin

Genre : Post-apocalyptique / Dystopique / Young Adult

Pages : 487.

 

pas mal

Quatrième de couverture :

Dans un monde recouvert par les flots, une seule chance de survie : embarquer à bord de gigantesques navettes spatiales.

Gary Cook a grandi sous le pont des Oubliés, l’un des derniers refuges sur cette Terre condamnée. À quinze ans, il passe le plus clair de son temps avec Max et Elliot à bord du Neptune, leur modeste bateau de pêche. Les trois amis rêvent de prises fabuleuses et d’aventure.

Autour d’eux pourtant, le monde touche à sa fin. Chaque année, d’immenses navettes surgissent de la mer pour fuir dans l’espace. Des navettes auxquelles les Oubliés n’ont pas accès – jusqu’au jour où Gary apprend que, pour la première fois, l’équipage vainqueur de la terrible course fantôme gagnera sa place à bord du Deucalion VII.
S’ils veulent faire partie du voyage, Gary, Elliot et Max vont devoir prendre tous les risques…

 

Avis :

J’ai eu la chance de pouvoir me rendre à un événement autour de la prochaine sortie « The Hate U Give » par les éditions Nathan (vous aurez d’ailleurs prochainement mon avis sur ce livre). A cette occasion nous avons eu le droit de prendre un livre parmi leurs parutions. Après tous les excellents avis que j’avais pu entendre, j’étais très intriguée.

Le gros point noir de cette lecture, c’est que ce premier tome reste assez introductif. Il y a de l’action, c’est sûr. Mais on reste en surface de l’intrigue et je ne sais pas vraiment où les auteurs veulent nous emmener. Je n’aime pas trop être perdue comme ça dans une histoire et c’était clairement le cas.

Les personnages ne sont ni tout noir, ni tout blanc. Mais dans ce cas là, ils n’attirent vraiment pas notre sympathie. J’ai eu du mal à m’attacher, et ce, jusqu’au bout du livre. Mais ils ont tous une partie profondément humaine qui est bien retranscrite. Petite mention à Dean qui est mon préféré.

L’univers est assez original. Cela peut vraiment faire froid dans le dos et nous faire réaliser qu’il faut réagir pour notre planète maintenant, sinon un jour on se retrouvera dans le même cas : submergés par les eaux. Certaines scènes sont totalement photographiques.

Je vous conseille vivement, si ce n’est déjà fait, de regarder la bande annonce du livre ici. Un des deux auteurs étant réalisateur ça envoie du paté lourd. S’il pouvait réaliser toutes les bandes annonces de tous les livres, on pourrait convaincre même les plus récalcitrants, c’est sûr. Et si vous êtes un petit peu curieux, profitez-en pour regarder le making off, on en apprend un peu plus sur leur processus d’écriture. Garanti sans spoiler, évidemment.

En bref, un premier tome qui construit de bonne bases pour une suite prometteuse. Je pense qu’elle risque d’être vraiment sympa, alors à voir !

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Quand j’ai paniqué tout le livre parce que j’ai hyper peur de l’eau et de toutes les bestioles cachées là-dessous :

The Ones, tome 2 – Daniel Sweren-Becker

the ones tome 2The Ones, tome 2

Daniel Sweren-Becker

Traduction : Benjamin Kuntzer

Genre : Dystopie / Young Adult

Pages : 301.

 

je n'ai pas aimé

◊ ATTENTION LA SUITE PEUT VOUS SPOILER

SI VOUS N’AVEZ PAS LU LE PREMIER TOME ◊

Cliques ici pour mon avis sur le premier tome !

 

Quatrième de couverture :

La révolte bat son plein. Les Ones, ce 1 % de chanceux sélectionnés par le gouvernement pour être génétiquement modifiés à la naissance, sont cernés. Et le mouvement Égalité n’a jamais été aussi puissant.

Farouchement déterminée à sauver son petit ami James qui s’est sacrifié pour elle, Cody se met à frayer avec un groupe de rebelles qui défend les droits des Ones envers et contre tout. Mais alors qu’elle se rapproche de leur leader, le mystérieux Kai, elle comprend rapidement que celui-ci a un plan plus fou que tout ce qu’elle aurait imaginé. Un plan qui pourrait changer le futur des Ones pour toujours. Et elle sait que Kai ne reculera devant rien…

 

Avis :

J’attendais grandement ce deuxième tome puisque le premier avait été un presque coup de coeur et qu’il nous laissait sur un vrai bon cliffhanger. Et surtout j’adore les diptyques et les dystopies.

Malheureusement ce tome 2 est très décevant. Pourtant je défendais bec et ongles le premier tome. Il était fort, juste et touchant. J’ai perdu tout ce que j’avais aimé dans cette suite.

L’intrigue est plate. On s’ennuie pendant presque tout le roman. Les personnages ont perdu toute leur fougue. J’avais hâte de retrouver James, Cody et Kai, mais je n’ai pas retrouvé ce que j’ai aimé dans le premier tome.

Tout ce que j’avais ressenti, tout ce qui avait été prenant n’est pas retranscrit ici. Le récit est juste mal exploité. On a une succession d’éléments, que j’ai trouvé peu crédibles. C’est vraiment dommage parce que le premier tome était tellement bien mené.

Les réflexions qu’apportaient le précédent livre sont encore un petit peu insufflées ici, mais de façon beaucoup plus légère. Tout du moins on ne nous donne plus envie de prendre les armes avec les personnages.

En bref, une belle déception pour ce deuxième tome. C’est toujours ma crainte avec les suites que j’attends beaucoup.

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Quand la suite d’un roman que tu avais adoré n’est pas à la hauteur :

 

Cell 7, tome 2 : la mort vous attend – Kerry Drewery

cell 7 tome 2

Cell 7, tome 2 : la mort vous attend

Kerry Drewery

Traduction :  Christophe Rosson

Genre : Dystopie / Young Adult

Pages : 392.

 

je n'ai pas aimé

◊ ATTENTION LA SUITE PEUT VOUS SPOILER

SI VOUS N’AVEZ PAS LU LE PREMIER TOME ◊

Cliques ici pour mon avis sur le premier tome !

 

Quatrième de couverture :

Vous avez été 21 millions à assister en direct aux aveux d’Isaac Paige : c’est lui qui a tiré sur son père, lui qui avait d’abord laissé sa petite amie s’accuser à sa place. Isaac Paige est un meurtrier que vous, chers téléspectateurs, devez punir. Grâce au système Chacun sa voix, vous allez décider de son sort, et de la sécurité de notre ville. Chaque jour, il avancera d’une cellule dans le couloir de la mort, jusqu’à la cellule 7. Là, c’est votre vote qui décidera.
La vie ? La mort ? À vous de juger !

 

Avis :

Après le cliffhanger du premier tome, j’avais super hâte de découvrir ce tome 2 ! Objectivement je pense que ce livre est bon. Mais ça n’a pas collé avec moi.

Je ne sais pas si je l’ai lu à un mauvais moment ou si c’est vraiment le livre qui est ennuyant mais il ne m’a pas captivée du tout. Je suis vraiment déçue parce que j’avais aimé le côté page-turner du premier tome et l’idée de ce nouveau système judiciaire était brillant.

Ce deuxième tome défend de nouveaux les mêmes idées : la perversion de la télé-réalité, le trucage, les pots de vins etc. Sur ce point je le trouve vraiment bien. En revanche je l’ai trouvé plat et creux. Il n’apporte rien de nouveau.

Dans le premier tome il y avait l’originalité, la découverte du système. Dans ce deuxième tome c’est exactement la même chose. C’est à dire que le schéma est absolument identique, mais en moins bien.

Je l’ai vraiment trouvé sans intérêt. En plus il y a moins d’action que dans le premier, il ne s’y passe rien. J’ai finis par lire le dernier tiers en diagonale.

En bref, je suis très déçue de cette suite. Vu le cliffhanger de fin il y aura un autre tome. Malheureusement on manque cruellement d’approfondissement pour que je continue.

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Quand l’idée de base était bien, mais que la suite de la saga ne te convainc pas :