Mon avis sur « La vraie vie » d’Adeline Dieudonné

Publication Instagram beauté éthique nude (1)La vraie vie

Adeline Dieudonné

Edition : Le Livre de Poche

Parution : 27 Mai 2020

Genre : Contemporain / Drame

Pages : 213.

 

inclassable

 

TW (à surligner pour voir) : pédophilie – violence

 

Quatrième de couverture :

C’est un pavillon qui ressemble à tous ceux du lotissement. Ou presque. Chez eux, il y a quatre chambres. La sienne, celle de son petit frère Gilles, celle des parents, et celle des cadavres. Le père est un chasseur de gros gibier. La mère est transparente, amibe craintive, soumise aux humeurs de son mari. Le samedi se passe à jouer dans les carcasses de voitures de la décharge. Jusqu’au jour où un violent accident vient faire bégayer le présent.
Dès lors, Gilles ne rit plus. Elle, avec ses dix ans, voudrait tout annuler, revenir en arrière. Effacer cette vie qui lui apparaît comme le brouillon de l’autre. La vraie. Alors, en guerrière des temps modernes, elle retrousse ses manches et plonge tête la première dans le cru de l’existence. Elle fait diversion, passe entre les coups et conserve l’espoir fou que tout s’arrange un jour.

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Mon avis sur Nos vies suspendues de Charlotte Bousquet

nos vies suspendues avisNos vies suspendues

Charlotte Bousquet

Edition : Scrineo

Genre : Contemporain

Pages : 316.

 

inclassable

◊ ATTENTION ◊

Ce livre peut heurter les personnes sensibles au thème du viol.

 

Quatrième de couverture :

Que faire, quand la justice ne vous rend pas justice ? Une poignante histoire de vengeance et de reconstruction pour continuer à vivre.
Trois ans, déjà.
Trois ans qu’Anis court pour ne plus qu’on la rattrape.
Trois ans que Nora a préféré ralentir, pour s’arrêter de penser.
Trois ans que Milan s’en veut de n’avoir rien pu faire.
Trois ans que Steven a fermé les yeux, et qu’il avance dans le noir.

Cette nuit-là les a marqué à jamais.
Et chacun doit réapprendre à vivre, avec cette voix intérieure qui ne les quitte pas.
Cette voix qui ne cesse de grandir et qui ne s’arrêtera pas de parler. Pas tant que les coupables n’auront pas payé.

Alors que le passé ne leur laisse aucun répit, comment retrouver le fil de leurs vies suspendues ?

 

Avis :

Ayant déjà lu « A coeurs battants« , « Celle qui venait des plaines« , « Sang de Lune » et « Là où tombent les anges » de Charlotte Bousquet, j’étais curieuse de savoir comment elle allait parler de ce thème difficile. Cette autrice revendique haut et fort ses idées dans ses romans, avec une plume redoutablement efficace. Merci à Babelio et Scrineo pour l’envoi.

Il faut savoir que ce livre est vraiment douloureux à lire. On va suivre le point de vue de plusieurs personnages, dont celui des violeurs. Etre dans la tête de ce genre d’individu m’a profondément mise mal à l’aise, et je pense que c’était le but recherché. Je n’avais pas une once de compassion pour eux. L’intrigue tourne autour de la psychologie de ces personnages et de la façon dont ils évoluent. On ressent chaque émotion de façon intense.

La décision de justice a été prise, nous allons suivre leurs vies après. On dénonce ici tout le système qui est encore aujourd’hui, horrible pour les victimes. Comment peut-on se reconstruire quand on estime que l’on ne nous a pas écouté ? Quand on ne se sent plus protégé ? Mais aussi d’autres thèmes que l’on retrouve dans d’autres récits de l’autrice : les violences policière, l’écologie, etc.

Sa plume me séduit toujours autant. C’est beau et brut à la fois, on ne nous épargne pas. Je suis assez étonnée de la tournure qu’a pris l’intrigue. Je dois avouer que je suis assez déçue de la fin, qui part dans un genre fantastique. C’est peut-être une métaphore ou une bascule vers l’absurde que je n’ai pas comprise. Toujours est-il que ce n’est pas ce à quoi je m’attendais et j’aurais voulu des réponses concrètes à tout ce qu’elle avait mis en place. Ça me laisse une impression de bâclé, comme si les horreurs étaient trop fortes et que pour conclure, il fallait un dénouement hors de la réalité.

Petite parenthèse qui me semble importante : si ce genre de drame vous arrive, ne restez pas seul.e.s. Il y aura toujours des gens pour vous aider. Ce n’est pas facile et peut importe votre choix de porter plainte ou non, c’est votre corps et vous décidez de ce qui est le mieux pour vous. Il est très important de savoir s’entourer et de ne surtout pas s’enfermer dans le silence. Parlez-en à quelqu’un, un proche, un médecin, une association, bref, la personne que vous voulez, mais ne portez pas ce fardeau seul. N’oubliez pas que peut importe ce qu’on peut vous dire : ce n’est pas votre faute.

En bref, un roman bien trop d’actualité. Il m’a beaucoup chamboulé, même si je suis déçue par la fin.

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Le roman donne quand même des sacrés envies de meurtre

Une fille facile – Louise O’Neill

une fille facileUne fille facile 

Louise O’Neill

Traduction : Nathalie Guillaume

Edition : Stéphane Marsan

Genre : Contemporain

Pages : 279.

 

inclassable

◊ ATTENTION ◊

Ce livre contient des scènes potentiellement choquantes et violentes pour les personnes sensibles par rapport au thème du viol. Ne le lisez pas si vous y êtes sensibles.

 

Quatrième de couverture :

« Quand tu prononces un mot comme celui-ci, tu ne peux plus faire marche arrière. Fais comme s’il ne s’était rien passé. C’est plus simple comme ça. Plus simple pour toi. »

Emma a dix-huit ans, c’est la plus jolie fille du lycée. En plus d’être belle, elle est pleine d’espoir en l’avenir. Cette nuit-là, il y a une fête, et tous les regards sont braqués sur elle.
Le lendemain matin, ses parents la retrouvent inanimée devant la maison. Elle ne se souvient de rien. Tous les autres sont au courant. Les photographies prises au cours de la soirée circulent sur les réseaux sociaux, dévoilant en détail ce qu’Emma a subi. Les réactions haineuses ne se font pas attendre ; les gens refusent parfois de voir ce qu’ils ont sous les yeux. La vie d’Emma est brisée ? Certains diront qu’elle l’a bien cherché.

 

Avis :

Merci à Netgalley et aux éditions Stéphane Marsan pour l’envoi de cet ebook. J’avais énormément entendu parler de ce livre en VO et lorsque j’ai vu qu’il était disponible en français je me suis précipitée dessus.

J’ai déjà lu sur des sujets difficiles mais ce roman est particulièrement éprouvant. J’avais l’impression de devoir traverser des barbelés. Autant vous dire que c’était plaisant, *ironie bonjour*.

On fonctionne sur un mécanisme assez malin de la part de l’auteure : on nous dépeint le caractère d’Emma et ses comportements dans toute la première partie du roman. La parfaite petite peste gâtée pourrie qui se la pète. Le genre de fille qui est jalousée et critiquée et qui se comporte comme une vraie garce.

Mais c’est là où ça devient intéressant puisque c’est cette fille qui va subir un drame. En aucun cas son comportement ne doit justifier l’horreur qu’elle va traverser. Pendant tout le roman j’étais terriblement outrée par les personnages autour d’elle, par toute cette haine.

L’auteure arrive à nous plonger au cœur de cette descente aux enfers et je me suis sentie vraiment mal pendant ma lecture. Elle arrive à traiter de beaucoup de sujets récurrents autour des agressions sexuelles. La note de fin confirme ce sentiment et il est important que ce message passe à plus grande échelle. CE N’EST JAMAIS DE LA FAUTE DE LA VICTIME. Pourtant il y a quelques points négatifs qui m’ont dérangée dans son roman.

L’intrigue est longue à se mettre en place, le début est brouillon et on s’emmêle facilement les pinceaux entre tous les personnages évoqués. La fin est lente et beaucoup trop ouverte pour moi. J’ai un goût d’inachevé, comme si on avait voulu la bâcler et ne pas conclure cette histoire.

Et en même temps j’étais immergée dans l’histoire et je me sentais révolté par les propos que tenaient les personnages. Cette fille subit un événement terriblement choquant et elle n’a personne (ou presque) autour d’elle. Pire, ses proches vont l’enfoncer. J’avais une boule au ventre rien que de lire cette histoire.

En bref, je suis un peu en demi teinte. J’en attendais beaucoup et quelque part je me dis qu’il faut des livres qui bousculent les mentalités comme ça. Mais je trouve que le roman a des failles et notamment cette fin beaucoup trop ouverte qui n’apporte finalement pas de morale ni de réelle conclusion.

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Quand lire ce roman m’a donné envie de tout casser :

Mygale – Thierry Jonquet

mygaleMygale

Thierry Jonquet

Genre : Thriller / Policier

Pages : 153.

 

inclassable

 

Quatrième de couverture :

C’est un des huis – clos les plus effrayants de l’histoire du roman policier et le chef-d’oeuvre de l’auteur. Le récit de la vengeance machiavélique de Richard Lafargue, un chirurgien dont la fille Viviane a été violée et en a perdu la raison, contre le coupable sur lequel il s’acharne en mobilisant toutes les ressources de son savoir médical. Comme toujours chez Thierry Jonquet, le suspense s’incarne dans une dimension physique qui donne au livre une tension extraordinaire. La violence n’est pas une notion abstraite, elle s’inscrit dans la chair même des personnages. Le milieu médical que l’auteur connaît bien pour y avoir exercé à ses débuts devient une métaphore de la société tout entière vouée à la violence. Récit inoubliable et dérangeant qui met en évidence l’existence de pulsions morbides, sous le couvert des apparences de la normalité la plus ordinaire.

Avis :

Je suis totalement sortie de ma zone de confort avec ce lire prêté par mon amie Emi ! En discutant des livres qui nous ont marqué par leur dureté elle m’a dit que celui-ci était pas mal. Effectivement, il ne laisse pas de marbre. Pour ceux à qui ce nom évoque quelque chose, il a été adapté au cinéma sous le nom « La piel que habito ».

Je vous conseille de vous lancer dans cette lecture sans lire la quatrième de couverture. Sachez seulement que l’on va suivre l’histoire d’une femme qui est séquestrée par un homme, qu’au début on ne sait rien sur eux, ni pourquoi elle est là mais que l’on va découvrir peu à peu les raisons.

Glaçant, ce huis-clos vous retournera l’estomac. Pourtant je n’ai pas été attachée aux personnages plus que cela. Le style froid de l’auteur m’a freiné et m’a tenue un peu à l’écart des sentiments de ses personnages.

Comme d’habitude avec ce genre de roman, j’avais envie de tourner les pages plus vite pour en arriver aux conclusions. Heureusement pour moi ce livre est très court et je l’ai lu d’une traite.

J’ai cru deviner la fin et tout le dénouement. Mais j’étais loin du compte. Ce roman est juste affreux. J’ai été surprise de découvrir toutes les raisons de l’enlèvement de cette femme. Jusqu’aux dernières pages on se fait mener en bateau par l’auteur.

En bref, je ne pourrais pas dire que j’ai aimé ce roman tant il est froid et horrible par la thématique, mais je peux vous dire qu’il me restera en mémoire.

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Quand je découvre toute l’horreur d’un roman :

Captive in the Dark, tome 1 – C. J. Roberts

captive in the darkCaptive in the Dark, tome 1

C. J. Roberts

Traduction : Paule duverger

Genre : Dark Romance

Pages : 276.

 

inclassable

ATTENTION, ce livre contient des scènes potentiellement choquantes. Si vous êtes trop sensible je ne vous le conseille pas.

Quatrième de couverture : 

La vengeance. La vengeance est le but ultime de Caleb. Il la prépare depuis douze ans. Pour réussir, son « arme » doit être vraiment spéciale. Elle sera un cadeau inestimable dont tout le monde parlera.
La fille qu’il surveille de l’autre côté de cette rue passante est parfaite. Elle est différente de ses proies habituelles. Elle n’est pas consentante, elle n’est pas vendue par son père, elle ne lui a pas été envoyée…Elle sera sa conquête.
Dans ce huis-clos étouffant, le bonheur est-il encore possible ?

 

Avis :

J’avais ce livre depuis très longtemps en ebook. Sur un coup de tête j’ai décidé de me lancer. Je l’avais vu plusieurs fois passé, et il m’intéressait depuis longtemps. Mais j’attendais d’être vraiment prête pour le lire car c’est le genre de roman qui vous marque au fer rouge.

Evidemment le sujet du roman est difficile et atypique. Le marché des esclave sexuels est déjà un sujet particulier, mais suivre le « dressage » de l’une d’entre elles est déchirant. Je ne conseille vraiment pas ce livre à tout le monde parce qu’il nous bouscule.

Il m’a mise vraiment très mal à l’aise. Pourtant ça arrive peu souvent. L’auteure joue sur des codes familiers de la new romance, dans un contexte glauque et gênant. On se retrouve plongé au coeur du quotidien de cette fille qui se fait kidnapper, et c’est le début du cauchemar. Ce huis clos est angoissant, prenant et bouleversant.

L’auteure réussit à rendre ses personnages vivants et réels. Elle nous coince dans cette ambiguïté de ce qu’ils ressentent et nous met dans une position inconfortable. On alterne parfois la vision entre la fille et son ravisseur. On comprend leur psychologie et c’est ce qui rend les choses plus malsaines encore.

J’ai dévoré ce livre en deux jours à peine. Je me suis plongée dans l’intrigue et j’ai vraiment besoin de lire la suite. Je vais encore passer un moment affreux en compagnie de ces personnages mais j’ai besoin de savoir ce qui va se passer.

En bref, je ne peux pas dire que c’est un coup de coeur puisque l’intrigue est trop malsaine. Il hérite donc du titre d’inclassable mais il m’a boulversé de façon indélébile.

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Moi, qui m’imagine sauver cette pauvre fille :

La Cave – Natasha Preston

La Cave

Natasha Preston

Traduction : Axelle Demoulin et Nicolas Ancion

Genre : Drame / Young Adult

Pages : 397.

 

inclassable

 

Quatrième de couverture :

Trèfle, un homme à la folie maniaque et meurtrière, séquestre Rose, Iris et Violette, trois filles, dans sa cave. Un jour, Summer croise la route de cet homme et ne rentre pas chez elle : il l’enferme dans sa cave et la rebaptise Lilas. Mais contrairement aux autres, Lilas ne compte pas accepter son sort jusqu’à faner.

 

Avis :

Ce livre a traîné pas mal de temps dans ma PAL. Pourtant j’avais très envie de le découvrir. Il retrace l’histoire dont on a tous cauchemardé une fois : se faire enlever et séquestrer par un malade dans une cave.

J’étais très curieuse de savoir comment l’auteure avait abordé le sujet. Autant vous le dire tout de suite : elle ne nous épargne pas une seconde. L’ambiance est pesante, angoissante et lourde. J’étais totalement stressée tout au long de ma lecture.

Ce livre vous prends aux tripes. Cette véritable course contre la montre pour sauver Summer des griffes de Trèfle est prenante. Dire que ce livre est addictif est un euphémisme. J’ai failli, à plusieurs reprises, lire la fin pour mettre fin à mon supplice alors que j’ai horreur du spoil habituellement.

Ce côté anxiogène est accentué par la façon d’écrire de Natasha Preston. Elle nous plonge au coeur de la psychologie de ses personnages. On alterne les points de vues entre Summer, son petit ami et Trèfle, le kidnappeur.

J’ai dévoré ce livre même s’il m’a plongé dans l’angoisse. J’avais réellement l’estomac tordu en lisant. *début spoiler* Je n’aurais pas supporté une fin horrible. J’avais besoin de ce happy ending et vous n’imaginez même pas comment j’étais soulagée par cette fin ! *fin spoiler*

Je conseille ce livre à tout ceux qui sont tentés de le découvrir MAIS qui ont le coeur accroché. Ce livre m’a vraiment touché de manière indélébile.

En bref, au vu du sujet abordé et du thème je ne peux pas dire que c’est un coup de coeur. Il hérite donc de la mention très rare « d’inclassable ». Si vous avez le courage de lire cette histoire, je ne peux que vous la conseiller. J’ai rarement été aussi ébranlée par un livre.

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Ma tête tout le long de ma lecture :

L’inclassable : Unravel sur PS4

Si vous suivez ce blog depuis quelque temps, vous savez peut-être que j’adore les jeux vidéos. Mais j’aime les jeux vidéos mignons, pleins de jolis décors et de tendresse, avec un fort story-telling. En tout cas, c’est ceux que je préfère.

J’ai d’ailleurs déjà fait une digression sur ce blog livresque avec mon expérience de jeu sur : The Last Guardian. Aujourd’hui je recommence avec le jeu Unravel.

Je tiens à vous partager mes coups de coeur en tout genre, même quand ça ne concerne pas les livres ! Je suis navrée si ça ne vous intéresse pas, mais dans cet article il ne sera pas question d’avis livresque.

Je suis loin d’être une gameuse pro, j’ai d’ailleurs beaucoup de mal à choisir des jeux qui me conviennent totalement. Alors quand c’est le cas, je partage ! Unravel c’est un mix entre plateformes et petites énigmes parmi de magnifiques décors.

Vous allez devoir vous accrocher, vous balancer, vous élever dans ce magnifique jeu, totalement unique en son genre. Vous incarnez une adorable petite pelote de laine à la recherche de ses souvenirs.

L’effort graphique est vraiment époustouflant. Vous verrez de nombreux paysages lors de votre évolution dans ce jeu. La musique est vraiment jolie et accompagne parfaitement le voyage.

Tout le gameplay est intuitif, il est vraiment facile de passer les niveaux. Personnellement j’ai vraiment horreur de rester bloquée des heures sur la même chose, ou avoir l’impression que je ne vais jamais y arriver. Je peux facilement abandonner. D’ailleurs le dernier Zelda est passé à la trappe exactement pour cette raison…

En bref, j’ai vraiment beaucoup aimé ce jeu. Il est presque trop court, on voudrait qu’il ne s’arrête jamais tellement il nous transporte dans son monde envoutant. Un jeu qui sort de l’ordinaire et qui fait du bien.

L’inclassable #1 : The Last Guardian sur PS4

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J’attendais ce jeu depuis quelques temps, dès que je l’ai vu je n’ai pu résister ! J’adore les jeux vidéos mais il y en a très peu qui me plaisent et dont je joue sans me lasser. Ayant (déjà) fini celui-ci, je vais vous écrire ce que j’en ai pensé.

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