Mon avis sur « Taxonomie de l’amour » de Rachael Allen

Taxonomie de l'amourTaxonomie de l’amour

Rachael Allen

Traduction : Florence Barrau

Edition : Page Turners – Bayard

Parution : 8 Juillet 2020

Genre : Contemporain / Young Adult

Pages : 448.

 

mitigé

 

Quatrième de couverture :

L’été de ses 13 ans, Spencer, adolescent atteint du syndrome de La Tourette, doit réaliser un projet sur la taxonomie. Dans le même temps, Hope emménage dans la maison d’à côté. Il est séduit par l’originalité de cette fille qui aime grimper aux arbres, raconte des anecdotes bizarres et ne se moque pas de ses tics moteurs et vocaux. Ils nouent des liens intenses, oscillant entre amour et amitié.

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Mon avis sur « Eve of Man » de Tom Fletcher et Giovanna Fletcher

Publication Instagram beauté éthique nude (2)Eve of Man, tome 1

Tom Fletcher et Giovanna Fletcher

Traduction : Anne Delcourt

Edition : Page Turners

Parution : 12 février 2020

Genre : Romance / Science-fiction

Pages : 436.

 

mitigé

 

Quatrième de couverture :

Imaginez qu’aucune femme ne soit née sur Terre depuis cinquante ans. Imaginez qu’enfin, une fille, une unique fille, naisse. L’avenir de l’humanité repose sur elle. Comment va-t-elle réussir à se rendre maîtresse de son destin ?

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Mon avis sur « Show Stopper » d’Hayley Barker

show stopperShow Stopper

Hayley Barker

Traduction : Laurence Bouvard

Edition : Page Turners

Genre : Dystopie

Pages : 536.

 

j'ai abandonné

Abandon ~ 300 pages

 

Quatrième de couverture :

Londres, 2045.
La société est divisé en deux catégories.
Les bâtards sont réduits à l’état d’esclaves, leur vie n’a aucune valeur. Les purs représentent les privilégiés qui ont accès aux soins et aux emplois nobles. Le cirque de l’horreur est leur divertissement préféré. Ils attendent le clou du spectacle: l’accident mortel qui leur provoquera le grand frisson. Ben, fils de ministre, assiste à sa première représentation et tombe sous le charme d’Hoshiko, la funambule star du spectacle. Mais derrière l’éblouissement et le faste de l’arène, il découvre l’horreur. Trouvera-t-il le courage de résister pour mettre fin au carnage ?

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Mon avis sur « Like a love story » d’Abdi Nazemian

like a love storyLike a love story

Abdi Nazemian

Traduction : Georges Content

Edition : Page Turners

Genre : Contemporain

Pages : 363.

 

frôle coup de coeur

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Mon avis sur « Time Bomb » de Joelle Charbonneau

time bomb joelle charbonneauTime Bomb

Joelle Charbonneau

Traduction : Amélie Sarn

Edition : Page Turners – Milan

Genre : Drame Young Adult

Pages : 280.

 

pas mal

 

Quatrième de couverture :

En ce samedi précédant la rentrée, le lycée devrait être vide. Pourtant, six ados y sont : Diana, la fille du sénateur, qui veut s’occuper de l’annuaire des élèves ; Rachid, qui cherche à se fabriquer une nouvelle carte de lycéen qui ne le stigmatiserait pas ; Z, parce qu’il est à la rue suite au décès de sa mère quelques semaines auparavant ; Tad, qui entend remettre à leur place ses coéquipiers de l’équipe de foot ; Cassandra, victime de bullying et bien déterminée à faire bouger les choses. Chacun a une bonne raison d’être là ; chacun a quelque chose à cacher.
Soudain, deux bombes explosent, et les ados se retrouvent confinés dans le lycée. Chacun jauge l’autre, se méfie. Les peurs et les vieux démons redoublent lorsque les lycéens comprennent que le poseur de bombes est parmi eux, et qu’une troisième bombe menace d’exploser. Aussitôt, les soupçons se tournent vers Rachid, parce qu’il est musulman. Mais le véritable poseur de bombes, bien sûr, a un tout autre motif pour agir…

 

Avis :

Merci à Page Turners pour l’envoi de ce roman. Sujet très risqué pour un livre du style, j’avoue que la quatrième m’a fortement intrigué. Un peu dans le style de « Qui ment ? » mais dans un contexte tout autre. J’avais pu découvrir « Need » et « Dividing Eden » de la même autrice, d’ailleurs.

J’avais lu beaucoup d’avis mitigés sur le roman donc je suis partie avec une estime assez basse. Finalement j’ai plutôt été embarquée par l’intrigue. Alors certes, il y a des faiblesses, mais le roman se laisse lire facilement. Tout est très cinématographique donc on s’imagine sans peine le cauchemar que vivent les personnages. Même si le décor de l’histoire m’a profondément mise mal à l’aise.

Facile à reconnaître, j’avais peur de confondre les nombreux personnages. Ils sont très clichés mais cela sert à l’histoire donc ça ne m’a pas forcément dérangée. Surtout que c’est un livre américain, ça n’excuse en rien mais on a l’habitude.

On va plus être sur le côté psychologique que l’action pure ou la prévention quant au sujet. En échangeant avec d’autres lecteurs, on m’a dit que « 54 minutes » était beaucoup mieux sur le même sujet. Je vous laisse vous faire votre propre avis, je ne l’ai pas lu. En revanche ici, il est vrai qu’il manque une dimension plus profonde pour être totalement immergé dans l’histoire. La fin est logique mais … ça nous laisse un côté « mouais ».

En bref, j’ai bien aimé ma lecture même si le livre n’est pas parfait. On aurait pu aller encore plus loin et ajouter de la profondeur pour nous faire totalement adhérer.

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Une lecture axée sur le fameux « méfiez-vous des apparences »

Mon avis sur « Aquila » d’Ursula Poznanski

aquila blogAquila

Ursula Poznanski

Traduction : Florence Quillet

Edition : Page Turners – Milan

Genre : Thriller / Young Adult

Pages : 416.

 

je n'ai pas aimé

 

Quatrième de couverture :

Vicky, étudiante en histoire de l’art, passe son année Erasmus à Sienne. Croyant se réveiller le lendemain d’une fête, elle se rend compte que deux jours ont passé, qu’elle a perdu ses clefs ainsi que son téléphone portable et que sa colocataire a disparu. Dans la salle de bains, elle trouve une chemise ensanglantée et un étrange message écrit au dentifrice sur le miroir.

 

Avis :

Merci à PageTurners pour l’envoi de ce roman. Très intriguée par la quatrième de couverture (pour une fois que je la lis), je n’ai pas pu m’empêcher de m’identifier à l’héroïne puisque quand on m’a proposé la lecture de ce roman, ma petite soeur était en Erasmus en Espagne. J’ai directement pensé : « OHMONDIEUILMEFAUTCELIVRE ». Oui je suis une fille mesurée et réfléchie.

Pourtant j’ai vite déchanté. Le roman est long. Pour un thriller c’est quand même dommage de ne pas avoir réussi à me tenir en haleine. J’avais l’impression de lire un long thread Reddit horreur, mais comme on a plus de 400 pages c’était clairement beaucoup trop long.

On tourne en boucle pendant une bonne partie du roman. Je n’avais pas du tout envie de continuer ma lecture. Seule ma curiosité maladive m’a poussée à lire le dénouement. L’héroïne insipide n’a pas aidé. Les personnages ne sont pas du tout creusés. Ni même l’univers. On ne nous plonge pas assez dans la vie des héros pour se sentir concernés par ce qu’il se passe. C’est très fade. Surtout que Vicky passe son temps a prendre des décisions hâtives et irréfléchies.

Comble de l’ironie j’ai trouvé la fin totalement tirée par les cheveux et improbable. Sérieux, qu’est ce que c’est que cette histoire ? Je n’ai pas trouvé ça crédible une seconde. Il y a déjà des éléments cocasses tout au long de l’intrigue mais alors quand on a le fin mot de l’histoire c’est le pompon sur la Garonne.

Non seulement j’ai trouvé ça long, sans intérêt et les personnages quelconques mais en plus la fin est invraisemblable. Je n’ai pas compris ou alors je suis vraiment passée à côté mais qu’est ce que je viens de lire ?

En bref, je n’ai pas du tout accroché à ce thriller qui n’a pas eu l’effet escompté. On repassera pour la dose de frissons.

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Ai-je apprécié ce livre :

Mon avis sur « In Real Life, tome 2 : Mémoire Vive » de Maïwenn Alix

in real life tome 2In Real Life, tome 2 : Mémoire Vive

Maïwenn Alix

Edition : Page Turner – Milan

Genre : Dystopique

Pages : 475.

 

pas mal

 

Mon avis sur le premier tome ici

 

Quatrième de couverture :

La suite des aventures de Lani. Elle est confrontée à un conflit de loyauté. Un récit qui amène à se demander si combattre un système revient également à lutter contre tous ceux qui le composent.

 

Avis :

Merci à Page Turners pour l’envoi de ce roman. Encore une fois, merci Summaries book pour le résumé du tome 1 ! Même si pour une fois l’éditeur a mis une page de « previously dans In Real Life » qui est plutôt agréable. Moi et ma mémoire de poisson rouge…

Je vous avoue avoir moins accroché avec ce tome 2, alors que j’avais vraiment adoré le premier ! J’ai l’impression qu’il a le défaut de beaucoup de tome 2, c’est à dire servir de transition. Je ne sais pas si c’est moi qui suis passée à côté ou si c’est le bouquin qui était moins dynamique que le premier.

Pourtant, il ne manque pas de rebondissements intéressants ! C’est ce que j’aime avec l’autrice, elle a su construire une dystopie avec des points de vus différents de ce qu’on peut lire. Elle explore des sujets presque politiques et aucun de ses personnages n’est manichéen. Et ça, bravo madame parce qu’en dystopie c’est trop souvent « les méchants contre les gentils »…

Ce qui a failli pour moi c’est le rythme. J’ai trouvé qu’il y avait pas mal de passages longs et inutiles ou de répétitions. On a une impression de lourdeur alors que l’intrigue est maline. J’ai mis des plombes à lire parce qu’il y a des passages entiers qui traînent de la patte.

Comme dans beaucoup de romans avec ces défauts, tout s’accélère à la fin, les surprises font leur petit effet, et on vibre avec les personnages. Dommage qu’il ait fallu attendre les trois quarts du livre pour ça.

En bref, j’attends la suite pour pouvoir découvrir ce qu’on nous réserve ! En plus elle arrive tout bientôt…

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Moi quand je suis clairement déçue de ne pas avoir aimé

Mon avis sur « Acid Summer » de Christophe Lambert

acid summerAcid Summer

Christophe Lambert

Edition : Page Turners –  Milan

Genre : Historique / Contemporain

Pages : 250.

 

pas mal

 

Quatrième de couverture :

Vendredi 15 août 1969, John Hudson, 18 ans, est en route pour Woodstock. Il prend en stop Penelope, blonde, délurée, et en tombe immédiatement amoureux. Mais la belle s’évapore. Comment la retrouver parmi le demi-million de spectateurs qui assistent au plus grand festival de l’histoire du rock ?
Sa recherche éperdue va le mener de rencontre en rencontre, dessinant un portrait de l’Amérique en cette fin des années 1960.

 

Avis :

Teasée sur ce livre par les éditrices au salon de Montreuil, en Décembre dernier, j’avais hâte de le découvrir. J’étais séduite à l’idée de vivre cette ambiance de festival rock, et Woodstock est mythique. On peut dire que la couverture es totalement dans le thème et réussie. J’avoue que je m’attendais un peu à autre chose. Merci à Page Turners pour l’envoi.

Il y a énormément de références. Genre, vraiment beaucoup. Si vous ne les avez pas cela n’empêche pas du tout le lecture, mais si vous les avez et que vous aimez cette période, c’est clairement un régal. Personnellement, je ne les avais pas toutes.

Pendant 250 pages on dresse une fresque du début des années 70s aux Etats-Unis. Un récit fictionnel qui vous plonge dans cette période devenue légendaire et qui a marqué son temps. Merci à mon prof de culture générale en Bachelor, parce que grâce à mes cours je connaissais pas mal de sujets évoqués.

Je n’ai pas été totalement embarquée par l’intrigue. Il me manquait de la profondeur, plus de charisme de la part des personnages. On passe vite d’un élément à un autre pour pouvoir raconter tous les éléments Historiques voulu. Je pense que le format court a empêché à l’intrigue d’avoir cette profondeur.

Néanmoins j’ai apprécié l’angle choisi. Le personnage principal va perdre une fille dans la foule et va tout faire pour la retrouver. Dans sa quête il croise d’autres personnages. C’est avec leurs histoires respectives que l’on va découvrir cette époque. Si vous vous attendez à quelque chose de complètement léger, passez votre chemin. La réalité n’est pas édulcorée pour le récit.

L’auteur nous laisse une postface où il explique comment il a construit le roman, pourquoi et d’après quelles sources. On apprend également que ce roman lui a été commandé.

En bref, j’ai bien aimé (re)découvrir cette époque même si l’intrigue manquait d’un petit quelque chose pour m’embarquer avec elle.

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Prêts pour un voyage dans le temps ?

Mon avis sur « Everless », tome 1 de Sara Holland

everlessEverless, tome 1

Sara Holland

Traduction : Eric Moreau

Edition : Pageturners – Bayard

Genre : Fantasy / Young Adult

Pages : 445.

 

je n'ai pas aimé

 

Quatrième de couverture :

Julie vit dans la misère avec son père. Pour pouvoir payer ses dettes, celui-ci va consulter l’extracteur de temps. Car au royaume de Sempera, tout se paie en temps. On peut en effet transformer en métal précieux le temps de vie contenu dans le sang…
Pour éviter que son père, déjà très affaibli, se condamne en procédant à une nouvelle saignée, Julie se fait engager comme domestique à Everless, la résidence des Gerling, la famille la plus puissante du royaume. On va y célébrer les noces de Roan, le fils cadet de la famille, avec la fille adoptive de la reine. Cette dernière est agée de plusieurs centaines d’années grâce à ses richesses (la monnaie créée à partir du sang peut aussi se consommer pour allonger la vie…)
Or, Julie est depuis toujours secrètement amoureuse de Roan. Car elle a vécu à Everless dans son enfance. Mais suite à un tragique accident, son père et elle ont dû s’enfuir. Et son père lui a toujours interdit de retourner à Everless…

 

Avis :

Merci à Pageturners pour l’envoi de ce roman. Très attirée par la couverture, j’avais entendu de nombreux avis élogieux en VO, puis en français dès sa sortie. J’étais plutôt contente de le commencer. Une fois n’est pas coutume, contrairement à la majorité je n’ai pas accroché. D’ailleurs mon avis est super similaire à celui de la copine Idées à lire.

Pourtant au début j’étais intriguée par cet univers. C’est ce qui m’a le plus plu. La monnaie du royaume c’est le temps. Votre temps de vie. Non sans me faire penser au film Time Out, mais dans un univers de fantasy avec une monarchie. Dommage que ce soit une des seules choses que j’ai apprécié.

L’intrigue est très, très, très lente. On s’ennuie pendant une bonne partie du bouquin. En plus de cette lenteur, j’ai trouvé qu’il n’y avait aucune originalité. Dans le sens où, des romans du même style (et parfois quand même mieux ficelés) existent, dans un contexte différent. La jeune et pauvre fille du peuple qui se retrouve au palais dans les intrigues de cour et va être mêlée à un destin plus grand que ce qui était prévu. Non ça ne vous dit rien ? Vous voulez des preuves ? Très bien, vous l’aurez voulu : Ash PrincessGrace and FuryRed QueenUn palais d’épines et de rosesLes Puissants – [insères le roman de ton choix].

Non seulement je me lasse de ce schéma, mais en plus là, il n’a pas grand intérêt. J’ai deviné le gros du scénario. On a frôlé le triangle amoureux (et j’ai eu peur). Il y a un petit élément que j’ai trouvé pas mal, même s’il tient moyennement la route. Comme dirait l’autre, ça casse pas six pattes à un cochon.

Malgré tout, ça se lit bien, sans être extraordinaire. Je regrette le déjà-vu alors que l’idée de base était sympa ! Et puis ces longueurs interminables c’était affreux. Je ne pense pas lire le tome 2 mais si quelqu’un veut se dévouer pour me le spoiler, je suis curieuse.

En bref, un gâchis pour moi. À lire si vraiment vous aimez ce genre d’intrigue et que c’est vraiment votre truc. Sinon ce roman n’apporte rien de nouveau.

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Et puis l’héroïne qui prend pas deux secondes pour réfléchir et fonce tête baissé dans tous les pièges

Mon avis sur « Que la montagne est belle » de Stephen Wallenfels

que la montagne est belleQue la montagne est belle

Stephen Wallenfels

Traduction : Lauriane Crettenand

Edition : Page Turners – Milan

Genre : Thriller / Young Adult

Pages : 379.

 

j'ai abandonné

 

Quatrième de couverture :

Après une partie de poker, quatre amis se promettent
de partir camper dans le parc national de Yosemite :
Ceo, le tombeur à qui tout réussit,
Grahame, la force de la nature,
Colin, le meilleur ami de Ceo,
et Rhody, qui finalement ne vient pas.
Il est remplacé par Ellie, une fille que Ceo a invitée et que personne ne connaît.

Un simple week-end entre copains… en théorie.

 

Avis :

Merci à Page-Tuners pour l’envoi de ce roman. Les premiers avis sont tombés sur ce livre, et il étaient tous très mitigés (pour ne pas dire mauvais). Comme beaucoup, j’ai été déçue.

Avec une telle couverture et un tel résumé, je m’attendais à du thriller bien glaçant. Après 200 pages où il ne se passe rien, j’ai lâché l’affaire. A la limite qu’il n’y ait pas beaucoup d’action, pourquoi pas. Mais il faut instaurer une tension, nous faire ressentir quelque chose.

Lorsqu’un livre ne vous fait rien ressentir à part de l’ennui profond, mieux vaut lâcher l’affaire. Je n’avais pas la moindre envie de continuer ma lecture. Les personnages sont peu crédibles. Histoire de savoir si j’avais bien fait, j’ai tout de même lu les derniers chapitres. En effet, j’ai eu l’impression que le livre n’aurait pas répondu à mes attentes.

Il faut oublier la couverture, la quatrième et le classement comme « thriller », car ce sont de fausses promesses. Même en lisant quelques avis anglophones, on revient un peu tous sur le même avis…

En bref, ça n’a pas collé pour ce coup-ci, dommage. Je préfère passer à une autre lecture !

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Moi, quand j’ai compris qu’au bout de 200 pages ça n’allait pas le faire :