Show Stopper
Hayley Barker
Traduction : Laurence Bouvard
Edition : Page Turners
Genre : Dystopie
Pages : 536.
Abandon ~ 300 pages
Quatrième de couverture :
Londres, 2045.
La société est divisé en deux catégories.
Les bâtards sont réduits à l’état d’esclaves, leur vie n’a aucune valeur. Les purs représentent les privilégiés qui ont accès aux soins et aux emplois nobles. Le cirque de l’horreur est leur divertissement préféré. Ils attendent le clou du spectacle: l’accident mortel qui leur provoquera le grand frisson. Ben, fils de ministre, assiste à sa première représentation et tombe sous le charme d’Hoshiko, la funambule star du spectacle. Mais derrière l’éblouissement et le faste de l’arène, il découvre l’horreur. Trouvera-t-il le courage de résister pour mettre fin au carnage ?
Avis :
Merci à Page Turners pour l’envoi de ce roman. Un livre qui me faisait énormément envie et qui a une couverture absolument sublime. Pour couronner le tout, la quatrième de couverture donne vraiment envie ! Malheureusement je n’ai pas aimé…
Déjà, je voyais les premiers avis tomber et je me suis dit que ça sentait le roussit. J’avais déjà des à priori en le commençant. Ils se sont très vite confirmés. A ma plus grande déception.
Je suis allée jusqu’à la page 300 et il ne se passait toujours rien d’intéressant. Alors oui, ça se lit vite. Les pages défilent toutes seules, les chapitres sont très courts. Ce genre de petit chapitre ça donne un « oh allez encore un, toute façon ça va vite ».
Le style (du moins sa traduction) est très agréable : fluide, qui dresse le tableau facilement. Mais il ne se passe pas grand chose. L‘univers de base est pourtant hyper alléchant. On aurait pu creuser l’intrigue pour que ce soit absolument génial.
Le gros hic c’est que tout est ultra manichéen. On a des répétitions qui deviennent lourdes, mais genre vraiment lourdes. On nous répète toutes les 5 pages que les Purs sont des grands méchants qui réduisent les Bâtards en esclavage. Pourquoi ? Alors là aucune idée. Mais c’est comme ça et tout le monde hait les Bâtards. C’est BEAUCOUP TROP exagéré mais rien n’est expliqué. Du coup c’est bancal.
Les personnages contribuent à tout ce manque de profondeur. Le héros est complètement incohérent, la fille a un peu plus de peps mais c’est pas non plus ce qui sauve le tout.
En bref, j’ai abandonné parce que j’ai compris que ça ne menait nulle part et que je n’accrochais pas du tout.
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Quand le personnage tombe amoureux d’une inconnue et se rend compte que tout son monde n’a aucun sens en littéralement 10 secondes, on m’a perdue.
Ah oui d’accord… La couverture est juste ouf et je suis du genre à craquer juste pour ça. Mais je n’ai vu que des avis similaires au tien donc je vais m’abstenir. 😂
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Ah mais je comprends tout à fait ! Mais j’avoue qu’avec les avis ça devient tendu…
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J’ai eu le même sentiment que toi mais j’ai réussi à terminer le livre. Et la fin n’est pas plus transcendante^^
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Ah donc j’ai bien fait d’abandonner ahah !
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Oh mince, trop dommage 😦 Je ne pense pas le lire en tout cas… J’ai du mal quand tout est trop manichéen !
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Ah oui et puis là c’est à l’extrême quoi…
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Oula, y a un paquet de défauts qui m’auraient faite abandonner à moi aussi ! Dommage l’idée avait l’air pas mal et la couverture est magnifique 😮
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