
Autre ouvrages chroniqués du même auteur :
Temps Mort – Les Soeurs Carmines, tome 1 – tome 2

Quatrième de couverture :
Une plongée fantastique au royaume des feys
Dans les Royaumes Immobiles, l’existence est contrôlée par quatre monarques. Sans eux, la réalité serait réduite à un flot d’énergie magique et chaotique. Or le trône d’Automne, vacant depuis trop longtemps, menace cet équilibre : il faut lancer un nouveau sacre. Sept jeunes femmes peuvent y prétendre. La compétition sera sans pitié. Ivy est candidate malgré elle. À 18 ans elle a passé toute son existence cachée derrière les murs de son manoir et les parois de son masque.
Elle est une « Belle-à-mourir » : quiconque voit son visage est pris de folie meurtrière ou suicidaire. Propulsée dans le monde des Sidhes, la noblesse des feys, au cœur de manigances qui la dépassent, elle va devoir puiser dans ses ressources pour survivre. Un chemin qui la mènera bien plus loin qu’elle ne l’aurait imaginé…
Un roman fantastique de haute volée dans l’univers sombre et mystérieux des Feys.
Avis :
Après avoir découvert les deux premiers tomes de la saga des Soeurs Carmines de l’auteur, j’avais hâte de découvrir cette nouvelle parution pour laquelle j’ai eu un teasing fou !
On retrouve la plume si particulière d’Ariel Holzl dans un roman aux frontières entre le fantastique et le dark fantasy florissant. C’est si foisonnant de créatures et de détails que l’on imagine sans mal ce lore. J’ai trouvé ça très graphique, entre un film de Guillermo del toro et le film la Belle et la Bête de Christophe Gans.
C’est sombre et mystérieux, l’intrigue prend son temps pour mieux nous enrôler dans ses charmes. A l’image d’un serpent vicieux, le piège se referme autour de nous petit à petit et on découvre à travers l’héroïne, un monde cruel.
Même si j’avais deviné quelques rebondissements, il se passe énormément de choses pour un premier tome de 400 pages ! Et ça, c’est cool. Ca n’empêche pas à l’univers d’être creusé et dense. Il a beaucoup de petits clins d’oeil cachés. Petit plus pour le bestiaire en fin de livre.
Le bon gros cliffhanger dans les dernières pages, qui donne envie de se jeter sur la suite. Nous aurons donc la conclusion de ce diptyque en 2023.
En bref, un excellent roman avec une plume si particulière qui mérite le détour.
• • •

2 commentaires sur « Mon avis sur « Les Royaumes immobiles, tome 1 : La princesse sans visage » d’Ariel Holzl »