Donne-moi ton coeur

Sara Wolf

Traduction : Noémie Saint Gal

Edition : Pocket Jeunesse

Genre : Fantasy / Young Adult

Pages : 395.

 

 

Quatrième de couverture :

Pour retrouver sa liberté, elle doit ravir le coeur du prince…
Quand sa famille a été décimée par une horde de bandits, Zera a été sauvée in extremis par une sorcière. Mais cette dernière a pris son coeur en otage afin de faire d’elle son esclave.
Un jour, la sorcière propose un marché à Zera : si elle obtient le coeur du prince héritier du royaume, elle récupérera le sien. Si elle échoue, elle perdra à jamais la chance de redevenir humaine.
Le prince héritier Lucien d’Malvane déteste la vie de cour et ne se prive pas de le montrer. Surtout, il rêve d’un monde plus juste. Alors que ses parents insistent pour qu’il se marie, personne ne trouve grâce à ses yeux… jusqu’à ce que l’insolente Zera se présente à lui.
Ainsi commence le jeu du chat et de la souris entre un prince entêté et une jeune fille qui n’a rien à perdre. Le gagnant remportera le coeur de l’autre… littéralement.

 

Avis :

En voilà un roman que j’ai lu uniquement parce que tout le monde en disait du bien. Et sincèrement ce titre il défonce. Je ne suis vraiment pas fan de cette couverture et j’avoue que j’avais quelques préjugés quant à l’autrice qu’on a plus l’habitude de voir en romance jeunesse.

Si au début j’étais franchement emballée par tout : la narration, les personnages et l’univers, je me suis un peu lassée par la suite. Dans le sens où c’était très classique comme schéma d’intrigue fantasy. C’est dommage parce qu’il y avait un potentiel fou.

Malheureusement à trop vouloir en mettre en peu de temps, on suit les chemins faciles et on manque en profondeur, et donc en crédibilité. Ca reste super plaisant à lire, surtout que l’héroïne est plutôt cool.

J’en voulais plus, parce que j’aimais beaucoup la base. J’aurais aimé que l’autrice aille encore plus loin et ose plus. Je reste assez curieuse de lire la suite.

En bref, un bon démarrage de saga qui termine sur du bon Cliffhanger des familles. J’aurais aimé qu’on aille encore plus loin, du coup c’est dommage.

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Quand je pensais avoir avoir un coup de coeur mais que plus tu lis, moins tu sens le coup de coeur