Quatrième de couverture :

Écoline est destinée à devenir chien de garde. Mais au lieu de protéger la ferme, elle passe son temps à peindre, une occupation qui provoque son exil de la campagne vers un Paris en pleine effervescence. En effet, l’Exposition universelle approche à grands pas et pour accueillir les visiteurs du monde entier, la capitale doit être impeccable ! Sans argent et sans collier, Écoline risque d’être chassée une nouvelle fois. Elle doit vite trouver une solution. Dans la ville Lumière où tout le monde ne parle que de ces nouveaux artistes, les impressionnistes, Écoline décide de vendre ses peintures. Mais qui donc a jamais entendu parler d’une chienne qui peint ?

Avis :

Une petite BD dont le tome 2 vient de paraître qui m’a gentiment été envoyé par la maison d’édition. Ca ne pouvait que me plaire car les personnages principaux sont des pôtits chiens mignons et que l’histoire se déroule à Paris !

Les graphismes sont vraiment très beaux. C’est coloré, avec un petit air d’impressionnisme pour mieux coller à l’intrigue. On découvre un Paris à l’heure de la fameuse exposition universelle de 1889.

Écoline rêve de pouvoir vivre de sa passion et non pas de suivre les traces de sa famille. Pour elle, devenir chien de garde, c’est renier ses rêves et ses convictions. Alors forcément, étant le seul chien de sa famille à ne pas suivre le modèle prédéfini, les conflits éclatent. Surtout qu’un chien peintre, personne n’a jamais vu ça.

J’ai beaucoup aimé le mélange de poésie, de beaux messages délivrés et de beauté des planches, le tout en une seule BD, ou plutôt deux.

En bref, j’ai beaucoup aimé, aussi bien les personnages que le graphisme ou encore l’intrigue.

• • •

Une planche pour vous convaincre ?