Mon avis sur « Ce qu’il reste de nous » d’Erika Boyer

Autre roman chroniqué de la même autrice :

Le langage des fleurs

Quatrième de couverture :

En couple depuis leur adolescence, Jules et Nicky sont aussi amoureux qu’au premier jour et ils ne s’imaginent pas l’un sans l’autre. Pourtant, une pièce du puzzle manque et son absence est de plus en plus dure à supporter.

Jules ne veut plus rien avoir à faire avec les siens ; ses origines gitanes, il les a effacées. Nicky a gommé l’idée de trouver un jour son autre moitié ; la femme qui manque à sa vie ne restera qu’un rêve. Pour le bien de leur couple, pour le bonheur de l’autre, ils ont tiré un trait sur un morceau de ce qu’ils sont, quitte à ne plus savoir ce qu’il reste d’eux.

Jusqu’à Santana.

Un jour, cette femme débarque, appareil photo à la main, anecdotes artistiques au bord des lèvres, de l’amour à revendre, une histoire à partager et en elle l’envie que Jules et Nicky réalisent tous leurs rêves et soient enfin pleinement heureux. Mais tout ce qu’elle est et tout ce qu’elle offre pourrait tout aussi bien devenir un cauchemar pour ces trois êtres…

Avis :

Un livre dont avait parlé l’autrice il y a très longtemps et dont le thème me parlait énormément. Il est vrai qu’en romance, de plus en plus, la diversité est présente, mais je n’avais encore jamais pu lire sur le trouple (sauf dans ce livre érotique mais ce n’est pas vraiment une romance). Merci à Hugo New Romance pour l’envoi.

J’ai beaucoup aimé l’intrigue et la manière dont est traité le sujet. C’est doux, rempli d’amour et de bienveillance. On suit une trame assez classique d’une romance, bien que là nos protagonistes sont trois. Les personnages incarnent bien le couple libre et le polyamour, chacun à leur manière.

Si vous n’y connaissez rien pas de panique, chaque personnage explique son point de vue et sa propre définition. Comme ont le dit bien dans le roman : il y a autant de forme de polyamour que de gens qui existent, comme il existe autant de manières d’aimer que de personnes. 

C’est donc une version et une manière de vivre un trouple mais il en existe bien d’autres. L’histoire fait partie de l’univers des Lost Souls mais ce n’est pas forcément gênant si vous n’avez pas lu les autres romans, comme c’est mon cas. Ca ne gêne pas la compréhension.

En bref, une jolie et douce romance qui parle de la communauté gitane, de polyamour et de famille. 

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2 commentaires sur « Mon avis sur « Ce qu’il reste de nous » d’Erika Boyer »

  1. Je crois que je te l’avais déjà dit sur Instagram, mais je le redis : merci d’avoir lu l’histoire de Jules, Nicky et Santana ♡ Et merci pour ta chronique ! (Toujours plus de « merci » 😂)

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