Broken

Jane Devreaux & Laura Devillard

Edition : Auto-édité

Genre : Contemporain / Romance

Pages : 262.

 

 

Quatrième de couverture :

Je croyais ma vie parfaite, j’imaginais que rien ne pouvait m’atteindre… j’avais tort.
Je m’appelle Colyna Macklean. Je suis allongée sur un lit d’hôpital, dans un corps qui refuse de fonctionner. Je suis incapable de bouger, la douleur et l’ennui me collant à la peau, et cette envie furieuse de me laisser sombrer !
Puis, il est entré dans ma vie.
Je suis Mozart Stanlo. Ma batterie me nargue, je ne pourrai plus jamais jouer, je vais devoir affronter le regard des curieux pour le restant de mes jours, mais pour elle, je suis prêt à tout, y compris à enfreindre les règles.

 

Avis :

Merci aux autrices pour l’envoi de leur ebook. Je vous avoue que je lis rarement des auto-édités parce qu’il y a vraiment de tout et n’importe quoi. Je me suis laissé convaincre par un mail qui donnait très envie et surtout parce qu’une des autrices, Laura Devillard sait de quoi elle parle. Je n’avais pas envie de lire une énième romance avec ce thème qui a été vraiment très utilisé en littérature ces dernières années. 

Le roman est bon. C’est fluide, ça se laisse lire facilement. C’est moderne et ça reste de la romance plutôt classique en contemporain. On ne tombe pas dans le larmoyant ou le trop mielleux et c’est plutôt cool.

J’ai moins accroché avec la construction du roman. J’ai pas eu l’impression qu’il se passait énormément de chose, ou ça ne m’a pas touché comme je pensais l’être. Il m’a manqué une dimension d’attachement aux personnages. Peut-être à cause du fait que je ne les trouvais pas complètement réalistes. Un peu lisses, pas assez approfondis. J’ai eu de mal à m’y attacher.

Certaines parties de l’intrigue, et comment les personnages y faisaient face m’a laissé perplexe. Ca a contribué au fait que je ne trouvais pas à ça crédible, et c’est dommage. Certains moments allaient trop vite, aussi bien dans l’histoire que dans la relation entre les personnages.

En bref, je n’ai accroché qu’à moitié. Je ne pense pas être le coeur de cible de ce genre de roman.

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