Normal(e)

Lisa Williamson

Traduction : Mathilde Tamae-Bouhon

Genre : Contemporain / Young Adult

 Pages : 379

Quatrième de couverture :

« Je ne suis pas gay. Je suis juste une fille hétéro coincée dans un corps de mec. »

À 8 ans, David Piper a déclaré devant sa classe : « Je veux être une fille ». Six ans plus tard, il reste le mouton noir de son école. Tout le monde le croit gay, mais au fond de lui, il est simplement une fille dans un corps de garçon.
Leo Denton vient d’arriver au lycée. Il se fait passer pour un dur inaccessible. Pourtant, il cache lui aussi un secret… Il n’est pas né Leo Denton. Il est une fille devenue un garçon.
À compter du jour où Leo prend la défense de David, une amitié naît. Au cœur des tourments adolescents, une question revient sans cesse : qui sont-ils réellement ? David et Leo refusent de se conformer aux étiquettes qu’on leur a collées. Confrontés au regard des autres, auront-ils le courage et la force de se réaliser ?

Avis :

Un livre qui traînait depuis pas mal de temps dans ma PAL alors que j’entendais d’excellents échos à son sujet. Je me suis enfin décidée à le lire !

Bien que cette histoire soit très juste et touchante je n’ai pas été non plus très surprise ou particulièrement happée par l’intrigue. Peut-être parce que j’ai déjà lu des livres sur le sujet qui m’ont déjà beaucoup émue. Je ne sais pas.

Je trouve tout de même que si ce roman vous intéresse, vous devriez vraiment le lire. Il est mignon tout en parlant d’un sujet difficile. Il se lit très vite, l’histoire se raconte avec beaucoup de dialogue.

C’est une lecture qui m’a fait passée un bon moment sans pour autant que je sois touchée comme je m’y attendais. Les personnages sont plutôt attachants et sont réalistes bien que le schéma un peu cliché du lycée américain soit présent.

En bref, une bonne lecture qui ne me marquera pas forcément longtemps. Je vous la conseille tout de même, surtout si vous voulez lire un livre qui traite du questionnement d’identité et que vous n’avez jamais lu sur le sujet.

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Ce que j’ai envie de faire à ceux qui n’essaient même pas d’être tolérants