Sim Survivor

Loïc Le Borgne

Genre : Dystopie

Pages : 352.

Quatrième de couverture :

Sandro, 18 ans, est un fils de bonne famille, qui s’ennuie dans son monde luxueux et douillet au point de rechercher par tous les moyens à « planer ». Il est contacté par Ambra, une adolescente de 17 ans au caractère bien trempé, qui lui propose de vivre une expérience inédite et puissante. A ses côtés, Sandro se retrouve embarqué dans un stupéfiant jeu en théorie virtuel, Sim Survivor, dont chaque saison est suivie par des millions de fidèles connectés. Sandro comprend vite que ce monde, violent et cruel, n’est peut-être pas une simple simulation. Et si, comme le pense Ambra, tout était réel ? S’il ne s’agissait pas d’un jeu mais d’une véritable et impitoyable épreuve de survie ? Tout en jouant sa peau, Sandro doit percer bien des mystères, jusqu’à réaliser que l’avenir du jeu mais aussi de son pays est entre ses mains.

Avis :

Un livre dont je n’ai pas beaucoup entendu parlé mais qui me tentait beaucoup un mélange de Hunger Games et du Jeu du maître ! J’attendais beaucoup de ce roman. Pourtant je dois avouer avoir été un peu déçue.

Le début est très preneur, on est très intrigué par l’univers de l’auteur. L’idée est géniale mais malheureusement trop de défauts ont fait leur apparition au fil des pages.

Les personnages, bien qu’intéressants au début, deviennent vite incompréhensibles. Leurs réactions sont totalement imprévisibles, d’une page à l’autre ils vont changer d’avis du tout au tout. Je ne comprenais pas leur façon de penser, du coup je les trouvais insupportables.

L’idée de base est vraiment cool, malheureusement on en apprend trop peu pour vraiment être immergés dans cette dystopie. On nous parle, par exemple, de « rebelles » tout au long du livre, mais on n’apprends jamais qui ils sont, ce qu’ils font ni rien du tout les concernant. C’est le cas de beaucoup d’autres choses.

Du coup j’ai eu du mal à rester concentrée sur ce qu’il se passait. J’ai mis une semaine entière à lire ce roman que j’aurais du lire en quatre jours maximum d’habitude.

En bref, une bonne idée de base que j’ai trouvé mal exploitée. Ca ne l’a pas fait avec moi.

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Intrigue : +++++

Personnages : +++++

Ecriture : +++++