Comment larguer un bad boy ?

Sereine M.

Edition : Hachette

Genre : Romance

Pages : 300.

 

 

Quatrième de couverture :

Riley a 21 ans, est étudiante en droit et promise à un brillant avenir. Son seul problème, actuellement, c’est son copain : Sledge. Le bad boy par excellence… avec qui elle vit depuis trois ans.

Or, un mauvais garçon, aussi séduisant soit-il, reste un mauvais garçon. L’idée selon laquelle un homme peut changer et devenir le parfait petit copain est un mythe. Il n’est pas attentionné, fume à l’intérieur, se moque des règles de propreté. Et il vous fait du mal, sans même le savoir.

Riley est donc déterminée à le larguer. Pour cela, elle a un plan infaillible : tout faire pour que lui la quitte. Sauf que les bad boys, en plus de tous leurs défauts, ont une caractéristique que Riley ignorait : ils sont coriaces et… obstinés !

 

Avis :

Merci à Hachette et NetGalley pour la lecture de cet ebook. Je m’attendais à quelque chose de léger, drôle et qui casse les codes. Malheureusement j’ai été déçue.

Pourtant avec le petit mot du début, j’ai vraiment cru qu’on allait jouer sur les codes du bad boy pour mieux les détourner. Mais pas du tout. On est dans les bons vieux clichés du genre.

Le pire même, c’est que notre protagoniste, en essayant de larguer son bad boy, en devient agaçante. On finit par se dire que c’est elle la lourde du couple. Tous ses stratagèmes pour se faire larguer sont tout même assez bitchy. Le bad boy n’en a pas totalement le comportement. Tout cela reste très superficiel.

Les chapitres sont relativement courts, donc c’est le genre de roman qui se lit vite. Il se veut léger et humoristique. J’avoue que ce n’est pas le genre d’humour auquel je suis sensible. Il est à la limite du loufoque, mais pas totalement. Je n’ai pas trouvé de réel intérêt ou message à l’histoire.

L’intrigue n’est pas assez approfondie pour m’intéresser. On enchaine les pièges de Riley pour que monsieur la largue, mais rien ne fonctionne. Au bout d’un moment on se lasse du schéma, on ne se renouvelle absolument pas. J’ai cru que la fin allait relever le niveau, mais non. On reste dans le cliché jusqu’au bout.

En bref, c’est dommage parce que ça aurait pu être intéressant. Mais je n’y ai pas trouvé mon compte du tout.

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Quand j’ai vu la direction que prenait le livre :